[neutre, Horde et Alliance] les pandarens
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[neutre, Horde et Alliance] les pandarens
par Crin-Noir Mar 11 Mar - 13:51
Les Pandarens
Race neutre, de l’Alliance et de la Horde
Proverbe pandaren : le sage sait qu’il ne faut pas réveiller le pandaren qui dort.
Histoire :
Les énigmatiques Pandarens sont l’une des races les plus mystérieuses et les moins connues d’Azeroth. Leur société est dite plus vieille que celle des Elfes de la Nuit. Ils sont originaires de l’Empire Pandaren, de l’île-continent de Pandaria. Ils formèrent leur empire avec la Fracture, et avaient des relations commerciales avec les Elfes de la Nuit de ce qui deviendra le centre de Kalimdor. Ils coupèrent leurs relations lorsque ces derniers, obsédés par la recherche arcanique, devinrent les Bien-nés (futurs Hauts-elfes). Les Pandarens donnèrent aux Bien-nés un coffre vide, symbolisant toute la magie des arcanes dont les habitants de Pandarie auront besoin, c’est-à-dire aucune. La position de l’île de Pandaria est depuis un secret jalousement gardé, protégée par des brumes magiques que même les Nagas ne purent percer.
L’histoire de Pandarie fut marquée par l’existence de l’empire Mogu, appelé Ancien Empire ou 1ère dynastie par les Pandarens pour ne pas prononcer son nom. Il fut fondé il y à 12000 ans par Lei Shen, le Roi-Tonnerre. Il grimpa les échelons du pouvoir chez les Mogus, mettant fin à l’âge des 100 rois et à la domination de clans Mogus se battant les uns contre les autres en Pandarie pour prendre le contrôle entier de ce qui deviendra un continent.
Lei Shen, connaissant l’insatiable soif de connaissance des pandarens, interdit la lecture et l’écriture, fit exécuté les dirigeants et les philosophes, organisa des autodafés et imposa la langue Mogu comme seule langue sous peine de mort. Il interdit le port des armes à tous les peuples qu’il vainquit et réduisit en esclavage.
Xuen le tigre s’opposa à lui, le défiant pour la liberté des habitants de Kun’lai et perdit. Le tigre fut alors enfermé dans ce qui deviendra son temple, mais il grandit en puissance car il était le symbole de la force pour les pandarens. Un à un les autres astres vénérables, qui soutinrent la résistance, furent vaincus, et Yu’lon fut la dernière. Mais depuis sa prison elle apporta l’espoir, et des mineurs lui construisirent une statue qui lui permit de renaître et d’offrir l’espoir d’un recommencement au peuple pandaren.
Les Mogus, pour protéger leur territoire, firent ériger l’Echine du Serpent sur le sang et les larmes des esclaves qui servirent à la construire. Nombres de jeunes pandarens furent envoyés sur le mur pour protéger l’empire Mogu des Mantides et des Yaungols. Ceux qui restaient dans l’empire n’avaient pas le droit de porter des armes. Ruofe décida d’y faire quelque chose. Portant du noir, il commença à développer les arts martiaux qui deviendront plus tard les techniques des moines. Il mena la révolution qui mit fin à l’empire Mogu sous le nom de Poing de la 1ère aube. Les premiers moines et brasseurs naquirent des herboristes qui soignaient les esclaves, suivant l’enseignement du premier d’entre eux.
La révolution renversa l’empire Mogu, recréant une organisation clanique aux groupes Mogus puisqu’aucun des successeurs de Lei Shen ne disposait de sa puissance. Des empereurs détestables comme Zian des ombres éternelles, Subetai le rapide, Qiang l’impitoyable et surtout Meng le dément attisèrent les braises de la révolte par leurs politiques d’oppression.
Après la révolution qui mis fin à l’empire Mogu, la grue rouge de l’espoir mis dans le ciel un arc-en-ciel pour que les pandarens apprennent à ne plus craindre l’orage, le symbole de leur ancien oppresseur.
Après la fondation de l’empire Pandaren, durant une guerre contre les Zandalaris, Jiang fonda l’ordre du Serpent-nuage en recueillant l’un d’entre eux. Les Zandalaris, alliés des Mogus, cherchaient certainement à cette époque à gagner plus de territoire et de forces alors qu’ils étaient eux-mêmes en guerre avec les Aqirs.
Il y à 10000 ans, Shaoshao fut le dernier empereur des Pandarens, et le fondateur de l’ordre des Pandashans, des 100 guerriers du monastère du Tigre Blanc. Les Eauracles Jinyu lui avaient prédis la Fracture et il s’y préparait. Mais du doute et de sa peur naquirent les Shas, liés à la puissance du Dieu-très-ancien enfermé sous la terre, le premier d’entre eux fut le doute alors qu’il essayait de sauver son ami le roi singe, suivit par le désespoir alors qu’il était perdu dans les marécages de Krassarang, puis la peur devant les guerriers Mantides, et ensuite la colère, la violence et la haine alors qu’il voulait recruter une armée contre la Légion Ardente. Mais le Dragon de Jade vint pour l’aider, lui donnant un conseil qui vainquit le doute, la Grue Rouge fit de même et il vainquit le désespoir, le Buffle Noir aida contre la peur et le Tigre Blanc, par le sacrifice d’un des lui guerriers qu’il entrainait, aida contre les trois derniers. Libérés des 6 shas, Shaoshao vint voir son peuple mais réalisa qu’ils auraient besoin de temps pour vaincre comme lui les sentiments négatifs des Shas. Alors, le conseil du dragon lui revint, donnant à l’empereur la force d’effectuer la séparation. Il devint vent et sépara son continent totalement du reste des terres, avant de créer les brumes qui protégèrent sont peuple durant des siècles, ignorant qu’ainsi il laissa le 7e sha, celui de l’orgueil, libre. Il s’enfonça dans le sol du Val du Printemps Eternel, le faisant fleurir éternellement, cachant sous le sol du Val une prison dans laquelle le cadavre de Y’sharj attend son heure.
Depuis, les pandarens aspirent à l’illumination que trouva le dernier empereur et se libérer du pouvoir des shas.
Quelques années après la Fracture, Liu Lang part sur une petite tortue pour explorer le monde. Il revient tous les 5 ans et sa tortue grandit à chaque fois. Et il raconte les histoires de ce qu’il a vu, et d’autres pandarens veuillent devenir aussi des explorateurs. Et la tortue les prends et devient Shen-Zin Su, l’île vagabonde. Puis au bout d’un moment elle ne revient plus.
Une civilisation entière, séparée de celle de la Pandarie, fut fondée à partir de cette île. C’est celle-ci qui fut en contact avec le reste d’Azeroth durant les siècles séparant la Fracture de l’ouverture des Brumes.
Jusqu’à la découverte de la Pandarie, la plupart des habitants d’Azeroth ne connaissent rien des Pandarens. On en trouve quelques dans les Serres-rocheuses (jdr), car ils y ont installés une petite communauté. Ils ont choisis de quitter leur terre natale pour des raisons personnelles, certainement en partie pour le besoin de se laisser aller à l’exploration (quelque chose qui coule dans le sang de ceux qui ont suivi Liu Lang) ou la surpopulation. Le plus célèbre de tous est le maître brasseur Chen Brune-d’orage, qui accompagna Rexxar pour la Horde après la défaite de la Légion Ardente durant la 3e guerre.
La plupart des Pandaren sont plutôt amis avec l’Alliance (jdr), car ils sont méfiants des Elfes de Sang, des Réprouvés et des anciennes traditions vaudous trolles, mais aucun d’entre eux n’est affilié à une faction ou une autre. Les Pandaren trouvent la politique trop compliquée pour pas assez de bénéfices (jdr), et ils se voient plus comme des messagers de paix. Les Pandarens s’entendent bien avec les nains Forgefer de Bael Modan, qu’ils ont aidé contre les forces d’Illidan. Ils s’entendent bien avec les demi-elfes qui partagent nombres de leurs philosophies, les Furbolgs (malgré leurs ressemblances, les Pandarens déclarent qu’ils sont plus anciens que les Furbolgs et n’ont pas de lien de parenté) et les demi-orcs, mais ne comprennent absolument pas les gobelins (jdr).
Li Li Brune d’Orage, nièce du célèbre Chen, se retrouva impliqué durant la période de la guerre contre le Roi Liche dans une série d’événements qui révélèrent la Pandarie au reste du monde. Partant à la recherche de son oncle, elle quitta l’île vagabonde pour découvrir Azeroth. Elle fut poursuivie par des gens qui cherchaient la mythique Perle de Pandarie.
Après qu’un navire de l’Alliance transportant des prisonniers de la Horde se soit échoué sur l’île vagabonde, des Pandarens ont ainsi pris contact avec le monde extérieur. Après avoir tous travaillé ensemble à soigner la grande tortue, des pandarens ont décidé de quitter l’école de Shang Xi pour rejoindre la Horde, sous le nom de Huojin, ou l’Alliance, sous le nom de Tusui. Le nom vient des leaders pandarens des deux groupes, il s’agissait de la doctrine qu’ils suivaient à l’école.
Au même moment, la Perle de Pandarie faisait réapparition et attira plusieurs personnes vers la Pandarie. Elle guida Wanyo en dehors du ventre de la tortue géante où elle l’avait guidé plusieurs années auparavant, avant de lancer une quête qui guida Li Li et son oncle Chen Brune d’Orage à travers Azeroth jusqu’à la lointaine contrée de leurs ancêtres, la Pandarie. Se faisant, ils ouvrirent la voie pour d’autres vers ce nouveau continent, en premier lieu des expéditions Taurène et Elfe de la Nuit, suivie par deux flottes de l’Alliance et de la Horde qui s’y échouèrent après une bataille navale.
L’arrivée des forces de la Horde et de l’Alliance changèrent la balance du monde pour les Pandarens, réveillant les Shas et plongeant dans la guerre la Pandarie. Les Pandarens eux-mêmes se séparèrent en trois grandes factions : ceux qui rejoignirent la Horde ou l’Alliance, et ceux qui restèrent neutres et essayèrent de maintenir la nation Pandarène unie, menée par les Pandashans et le Lotus doré.
Alors que les forces Pandashans se sont alliées avec les forces de la Horde, menée par les Saccage-soleils, et les forces de l’Alliance, menées par le Ki-rin Tor, pour les combats sur l’île du Tonnerre, Garrosh mets cette alliance à risque en creusant le sol du Val du Printemps Eternel. Ses hommes y trouvent la prison du dieu-très-ancien des Mantides, libérant des élémentaires corrompus, et les Pandashans menacent de se lancer contre les forces de la Horde en réponse. Le marche-soleil Dezco obtint un répit pour régler le problème du chef de guerre.
A cette période, les commandos-pilleurs du Cartel Baillefonds cherchaient une arme pour leur prince-marchand, et trouvèrent le caveau du savoir. Une chroniqueuse les empêcha de prendre le parchemin vierge qui s’y trouvait, qui avait le pouvoir de faire devenir réalité les légendes, les basant sur les disputes et discussions de ceux qui violaient le sanctuaire. Le seul moyen de passer l’épreuve étant d’appliquer la fin de l’histoire avant d’être vaincu.
Les forces de Garrosh creusèrent ensuite dans le Val du Printemps, libérant la prison de Yshaar’j et la puissance du sha de la fierté. Les énergies des shas corrompirent la moitié du val, forçant les pandashans à s’élever contre la Horde. Il fallut finalement une alliance tacite des rebelles de la Horde, des pandarens et de l’Alliance pour mettre fin aux horreurs libérées par Garrosh, mais le Val ne sera plus jamais le même.
Une opération de reconstruction de la grande Statue du Serpent de jade fut décidé dans la reconstruction suivant la guerre contre Garrosh, avec l’aide d’un groupe de nains envoyés par l’Alliance.
Pandaria :
L’île elle-même est connue pour ses immenses forêts de bambous et ses gemmes : les dragons rouges avaient suggérés d’utiliser de la poudre de gemmes de Pandaria pour régénérer le puits du soleil. L’Empire Pandaren se trouvait jadis en dans le Kalimdor central avant la guerre des Anciens. C’est une zone très fertile, grâce aux eaux magiques des bassins du pouvoir, qui courent depuis le Val du Printemps jusqu’au reste du continent grâce aux machineries des Titans. Les clans Pandaren (shao’dins) (jdr) se partageaient ce territoire. Jadis un peuple de guerriers fiers et redoutables, les Pandarens choisirent de vivre reclus durant plusieurs millénaires, devenant une légende. Ils sont ressortis dans l’après Cataclysme suite à une série d’événements liés à la Perle de Pandarie.
Etant une île-continent comme l’Australie, la Pandarie n’est pas aussi grande que Kalimdor ou les Royaumes de l’Est mais plus de la taille du Norfendre. Les célèbres forêts de bambous forment le territoire le plus à l’est, celui de la Forêt de Jade. Le nord forme la chaine de montagnes du Sommet de Kun-lai, une zone de toundra qui possède de grands troupeaux de yacks et un peu d’agriculture, mais rien à comparer avec la zone centrale du continent, l’immense vallée des 4 vents. Cette zone pratiquement entièrement consacrée à l’agriculture possède un sol magique qui fait pousser les fruits et les légumes à une vitesse extraordinaire (parfois on compte ça en heures) ce qui permet de nourrir la quasi-totalité du continent. Ceci est dû aux eaux magiques issues des Bassins du Pouvoir.
Le sud est couvert par les mangroves et les jungles subtropicales des étendues sauvages du Krassarang, qui comme leur nom l’indique sont peu peuplées. Elles restent majoritairement le territoire des mogus et des sauroks même si les forces de l’Alliance et de la Horde y ont installés leurs bases de débarquement sur le continent.
L’est est divisé en deux : les steppes de Tanglong, où les tribus Yaungols survivent face aux Mantides ; et les Terres de l’Angoisse qui sont le cœur de l’empire Mantide, et sont aujourd’hui ravagées par les énergies des Shas. La Pandarie possède aussi trois zones plus petites notables : l’escalier dérobé, une sorte d’immense chemin de montagne qui permet de passer à pied à travers la chaîne de montagne qui sépare l’est du centre grâce à l’Ancien Passage, une série de tunnels construits par les mogus et occupés par les Saurocs ; l’île des géants, au nord, où les zandalaris élèvent des reptiles gigantesques comme armes de guerre ; et l’île du tonnerre à l’ouest. Cette dernière fut jadis le sommet d’une immense montagne, la montagne fulminante, où résidait le dieu des mogus (certainement un titan ou un de leurs serviteurs supérieurs) et qui devint la capitale et le palais du Roi Tonnerre. La montagne coula dans les tsunamis de la Fracture et le sommet fut sauvé par Shaoshao, devenant l’île ravagée par les orages connue aujourd’hui.
L’île vagabonde, le plus grand rassemblement de Pandaren connu d’Azeroth pendant des siècles, possédait un territoire riche et florissant. Petites forêts de bambous et champs très productifs couvrent la majorité de l’île avec une zone de petits lacs aux propriétés mystiques. 4 villages se partagent le territoire avec l’académie de Shang Xi, autour du bâtiment central du temple des 5 aubes. Une série de hautes montagnes forment la limite extérieure de la tortue Shen-Zin Su.
Culture :
La société Pandaren (dans le jdr, fait certainement plus référence à la population émigrée et à l’île vagabonde) tourne autour de cette notion de paix et d’harmonie, et la grande majorité de leurs membres sont des pacifistes et des créateurs : l’inventivité est une grande qualité chez eux. Cette notion de paix et d’harmonie découle certainement des enseignements de Shaohao lorsqu’il atteint un état d’illumination après s’être libéré des Shas, auquel les Pandarens aspirent. La majorité de la population sont poètes ou chanteurs, et les créateurs et artisans sont révérés, mais devant la difficulté de la vie une caste de guerrier s’est instaurée. Tout Pandaren est capable de se battre en dernier recours, même s’ils préfèrent les armes qui montrent leur statut de civilisation, les Pandaren apprennent durant leur enfance dans des jeux et exercices à se servir de leurs griffes et à développer leur agilité.
Bien que souvent considéré comme inoffensifs et mignons par ceux qui les croisent, les Pandaren sont tous les héritiers d’une longue tradition mystique d’arts du combat, basés sur l’agilité et la vitesse.
La société Pandaren (jdr) est très complexe et ils n’ont jamais expliqué à aucun étranger les différentes castes et organisations sociales. On sait que l’art de brasser les alcools est sacré pour eux, et la consommation de boisson sacrée. Ils ont donc lié une certaine amitié avec les nains Forgefer pour leur passion commune des bières. La plus grande partie des Pandaren croisés en dehors de Pandarie appartiennent à l’ordre des maîtres brasseurs, des maîtres en art martiaux et dans l’art de préparer des alcools. Ils visitent le monde le plus souvent pour trouver de nouveaux ingrédients pour leurs boissons, créant des breuvages magiques que seuls les plus puissants alchimistes peuvent copier, et n’ayant aucun rapport question goût.
La société de l’île vagabonde est un microcosme de la société Pandarene, possédant encore de nombreuses traditions inchangées depuis que la tortue n’est plus retournée en Pandarie. L’office la plus importante est l’école d’arts martiaux de Shang Xi, où visiblement tous les jeunes de l’île passent à un moment ou à un autre. Les élèves sont divisés en deux grandes philosophies selon leur personnalité : les Huojin sont des défenseurs, des guerriers volontaires ; les Tushui cherchent l’illumination par la patience et la méditation.
L’errance, le désir d’explorer, est fort chez les Pandarens de l’île Vagabonde, ce qui explique que beaucoup de jeunes ont quitté la tortue pour découvrir Azeroth et partir à la recherche de nouveaux ingrédients pour de nouvelles bières.
La société Pandarène de Pandarie est marquée par une longue histoire de domination par les mogus et la constante menace de leurs anciens oppresseurs ainsi que des Yaungols, des Saurocs et surtout des Mantides.
Les pandarens sont extrêmement routiniers en général, ce qui se marque dans leurs pratiques de récolte de produits comme le minerai ou les plantes.
Religion :
Les Pandaren sont des êtres religieux et philosophes. Leur religion, la géomancie, repose sur l’harmonie dans toutes choses : l’équilibre entre les opposés : mâle et femelle, chaos et ordre, existence et non-existence, et les 5 éléments qui construisent le monde selon un pentacle : bois, terre, feu, métal et eau. La géomancie est identique au shamanisme dans le respect des esprits, la vénération des éléments et tirée son pouvoir de la Terre-mère ; mais contrairement au shamanisme c’est une société qui réagit et ne répond pas : les shamans suivent les éléments et corrigent ce qui provoque des troubles, les géomanciens réagissent et changent les choses pour que le trouble ne soit plus. Ils sont comme l’eau autour d’un roc : le courant contourne, alors que les shamans essayeraient de déplacer le roc ou de trouver un autre chemin. La géomancie est aussi une pratique qui combine l’utilisation des énergies arcaniques et des énergies divines, toutes les deux issues de l’univers.
Les légendes pandarens disent que les esprits et les énergies s'agitent dans le cosmos : esprits et énergie définissent la réalité, et de ces deux sources vitales la vie est formée. Telle est la base de la géomancie pandaren. Contrairement à beaucoup de pratiques géomanciennes, les pandarens sont très proches des shamans, vivant en bonne harmonie avec les éléments alors que généralement les géomanciens réduisent les éléments en esclavages.
Shen-Zin Su, l’île vagabonde, possède 4 puissants élémentaires auxquels les habitants font appel lorsque la grande tortue souffre d’un problème : Huo du feu, Wugon de la terre, Sju de l’eau et Dafeng de l’air.
Les Transcendents (jdr) essayent de devenir des avatars de ses énergies créatrices de l'univers, de les contenir dans leur corps, ce qui font d'eux des esthètes, des guerriers et des mystiques. Les Transcendants sont des héros pour le peuple Pandaren : très rares, ils ont tous jurés de défendre leur peuple, et sont la sagesse incarnée : la puissance créatrice de l'univers contenue dans le corps physique d'un pandaren. Les transcendants se manifestent avec les éléments tempête, terre et feu, le premier élément certainement une manifestation de l’eau dans un pays qui doit connaître des moussons dans le sud.
Les Pandarens ont une révérence envers leurs ancêtres, qu’ils consultent parfois sous l’apparence de fantômes connus comme les Pandriarches (souvent les fondateurs de clans ou de lignées), mais ils les révèrent sans les vénérer comme un culte.
« Certains pandarens brûlaient de se venger, et ils firent tout leur possible pour devenir plus forts, en prévision du jour où ils auraient la possibilité de frapper les mogus. La colère était une source de motivation de tous les instants. Mais qu’est-ce que la force sans contrôle ? Ces pauvres esclaves devinrent bien vite les instruments du courroux, ce qui les conduisit à tourner leur haine contre tout le monde. Ils avaient oublié la leçon la plus fondamentale de Xuen : « Le seul ennemi est en vous. » »
— Les parchemins des vénérables.
L’opposition aux Mogus fonda un culte nommé le Culte des Vénérables, dédié aux Astres Vénérables. Ce culte fut interdit sous l’empire Mogu, et le culte perdit beaucoup de son savoir et de ses traditions durant cette sombre période de plusieurs siècles. Chacun des astres, ayant aidé les rebelles, fut vaincu un par un et emprisonné. Le dernier à tomber fut Yu’lon, qui se retrouva enfermé dans une mine de jade, mais de là elle ouvrit sa magie et offrit sa sagesse aux mineurs de jade. En échange, elle leur demanda de construire une statue en son honneur, statue d’où elle renaquit et offrit un nouvel espoir au peuple Pandaren, espoir qui donna naissance à Kang le poing de la première aube.
Traditions :
Ils ne pleurent pas les échecs : ils étaient mal préparés et feront mieux la prochaine fois. Cette philosophie se retrouve dans tout ce qu’ils font, que ce soit des arts martiaux à la cuisine (jdr). Ils sont affables et calmes et offrent toujours la patte à un voyageur sur le chemin… mais cette patte peut devenir une arme si jamais le voyageur se montre hostile.
Les valeurs les plus importantes pour les Pandaren sont l’honneur, l’amitié et la discipline. « Famille, amis, nourriture, voilà ce qui est important. » est une devise courante chez les Pandarens qui explique leur vision du monde. Les Pandarens sont excentriques, ne restent jamais longtemps à la même place, mais font de grands amis et protecteurs.
Parmi les traditions Pandaren ont connaît l’art de l’acupuncture (jdr). L’art le plus célèbre reste néanmoins l’art du brasseur. Les trois plus grands maîtres brasseurs furent Chou Ling Sing, Hong Liu et Xiang. Cela surprend souvent les gens qui rencontrent des Pandaren pour la première fois. Une bonne journée pour un Pandaren débute avec de la méditation et finit avec une bonne bière partagée avec un ami. La bière est considérée par la plupart des habitants de Kalimdor comme une boisson des masses qui embrouille l’esprit et détourne des dieux, mais les Pandaren rient à cette notion. Les Pandaren aiment les gens qui vivent la vie jusqu’au bout, et aiment l’aventure et raconter des histoires autour d’un verre dans une taverne. Ceux qui ont la chance de partager la boisson d’un pandaren trouveront que ce sont les meilleurs au monde, et jamais ils n’arriveront ensuite à être satisfaits uniquement avec les boissons de Kalimdor. Les Pandarens sont un peuple avec des nombreuses traditions et arts importants pour leur façon de vivre, et aucun ne l’as as autant influencé que celui du brassage. Boire se trouve impliqué dans toutes les facettes de la vie d’un pandaren, et l’art du brassage demande de trouver des ingrédients et manier de puissantes forces magiques pour créer les mythiques bières Pandaren. Boire et brasser sont des rituels pour eux dans la vie de tous les jours, et surtout en rapport avec le combat. Le brassage est considéré comme l’une des plus nobles poursuites, et les maîtres brasseurs comme des prêtres.
Bien que boire soit une des bases de leur société, les Pandaren se rendent que très rarement ivre (jdr), du moins par le passé. Aujourd’hui il n’est pas rare de voir des pandarens ivres tout au long de la journée et les alcools forts font de plus en plus fureur.
En tant que civilisation tournant autour de la cuisine, ils ont beaucoup de traditions concernant la nourriture. La famille des Pattes de Fer possède un système d’apprentissage de la cuisine avec une étude des différentes voies traditionnelles de préparation des aliments, et par exemple le rare Gourami Tigre Volant est réservé à la consommation de la famille royale.
Les Pandarens ne sont pas de particulièrement bons inventeurs, et plutôt que de devenir bricoleurs, ils préfèrent apprendre à fabriquer un type particulier d'objet et se spécialisent dans la matière. En dehors de la fabrication d'objets en rapport avec la distillerie de bières, ils n'inventent rien : ils fabriquent des objets déjà connus. Dans le domaine de la distillerie, ils effectuent des essais et des innovations sans cesse. Nombres de pandarens pensent que les alcools créent artificiellement sont corrompus ou moins bons que ceux naturellement, mais ce n'est pas le cas de tous.
Les arts martiaux sont comme tout chez les Pandaren : ils essayent de se perfectionner dedans et d’atteindre leurs limites. Si un pandaren blessé ne peut plus donner de hauts coups de pieds, il s’entraînera sur une autre voie de combat. Si l’adversaire est grand et fort, il ne lui opposera pas la force. Il cherchera toujours la façon la plus réfléchie de le battre en utilisant le moins de force possible.
Les Pandarens fabriquent de petites figurines funéraires pour surmonter le deuil.
Les Pandarens impliqués dans une dispute qui sème la discorde dont appel à un chroniqueur. Celui-ci écoute les deux partis et leur raconte une histoire qui les pousse à remettre leurs opinions en cause. Ils possèdent souvent des pouvoirs magiques permettant de créer des images des histoires qu’ils racontent. « Pourquoi les pandarens utilisent-ils leurs histoires pour régler leurs problèmes ? » demanda un gobelin lorsqu’il apprit cela. La chroniqueuse lui répondit : « Oh, ce n’est pas que nous. Chaque peuple a ses histoires qu’il conte et raconte. Nous les aimons, parce qu’elles apportent des réponses simples qui nous aident à trouver les réponses compliquées. Mais les histoires sont dangereuses. Des fois, nous oublions que les histoires enfreignent les règles. Les réponses simples ne se soucient pas des conséquences, et il y en a toujours beaucoup ». Les histoires comprennent :
- Le Labyrinthe de l’empereur fou Ko. L’empereur Ko était gouverné par la peur. Il était persuadé que les mogu reviendraient. À travers le voile de sa paranoïa, il voyait la traîtrise derrière chaque sourire, une machination derrière chaque vœu de fidélité, et des pièges vicieux jusque dans les tranquilles prophéties des eauracles jinyu. Il fit donc construire un labyrinthe sous son palais, avec une pièce protégée en son centre. Et quand la peur revint le hanter, il s’y réfugia et ferma la porte en attendant que la terreur retombe. Mais ce moment ne vint jamais ; le labyrinthe avait été tracé si habilement que lui-même avait oublié le chemin de la sortie. Les gens envoyés à sa recherche l’entendaient parfois appeler… Mais les années passèrent. Parfois, un explorateur entrait dans le labyrinthe, mais en ressortait en hurlant, fou de terreur. Car tout ce temps plongé dans les ténèbres avait transformé Ko en une chose si horrible qu’il était insoutenable de la regarder…Un jour, un ourson appelé Li Tao suivit son raton voleur jusque dans le labyrinthe. Il se rendit vit compte qu’il était suivi. Mais même s’il avait trop peur pour regarder, le petit Li Tao comprit qu’il y avait quelqu’un qui avait encore plus peur que lui. Alors il tendit la patte en arrière et mena le pauvre empereur Ko jusqu’à la sortie du labyrinthe. La peur et la paranoïa font de nos ennemis des monstres. Quelqu’un doit faire le premier geste.
- Di Chen était le plus grand guerrier de son époque, et demanda à une sorcière du désert de lui créer des adversaires. Et les sables du désert devinrent une armée inépuisable. La bataille ne prendrait fin que lorsque Di Chen admettrait qu’il existait des défis trop difficiles même pour lui. À ce jour, il continue à se battre. On trouve toujours des raisons de faire la guerre. Ce qu’il faut, c’est savoir quand s’arrêter.
- Les Araignées de Te Zhuo. Des milliers de petites — mais pas assez petites — créatures menacent ceux qui violent le temple. Aucun explorateur ayant pénétré dans le temple de Te Zhuo n’en est jamais revenu ; il s’agit plus d’une légende dissuasive que d’une histoire. On ne les revoit jamais mais on les entend hurler à propos d’araignées.
Jadis, les candidats à la position d’empereur devaient aller faire le tournoi des Astres Vénérables pour espérer obtenir le trône. Ce tournoi se passait sur l’île du Temps Figé, une île marquée par les énergies du temps, et qui disparut visiblement aux alentours de la séparation de la Pandarie du reste de Kalimdor. Elle est réapparue durant la période du Siège d’Orgrimmar, attirant l’attention de la Horde, de l’Alliance et du Vol de Bronze.
La chasse au jade est une tradition pandarène de course au minage de jade, le gagnant étant celui qui en rapporte le plus de l’aube jusqu’au crépuscule.
Organisations Pandarens :
- L’ordre des Pandashans (en anglais Shado-Pan) : ils forment les protecteurs de la Pandarie, des guerriers honorables et compétents. Ils défendent l’Echine du Serpent contre les Yaungols et les invasions de Mantides (tous les 100 ans), et le reste des terres contre les Mogu et les bandits. Leur chef est Taran Zhu, qui mena l’assaut contre l’île du Tonnerre, avant de s’opposer à Garrosh puis d’emmener l’ex-chef de guerre faire face à son jugement en Pandarie.
Les pandashans s’entraînent durement pour contrôler leurs émotions, qui ne doivent pas influencer leur jugement.
Les Pandashans ont, d’après les rumeurs, de terribles punitions pour ceux qui nuisent à leur mission. Un d’entre eux dit : « Dans ce cas, nous devrons prendre le parchemin, ainsi que ta vie. Mais ne va pas penser qu’il s’agit simplement de te tuer, petit voleur. Quand nous, les Pandashan, nous emparons d’une vie, ça signifie qu’elle devient notre possession. Nous allons t’attacher, t’enlever tes yeux, tes pieds et tous tes doigts, sauf deux pour que tu puisses te nourrir. Ensuite, tu seras attaché sur une monture et emmené à notre monastère, en haut du sommet de Kun-Lai. Là-bas, tu seras déposé sur une corniche glacée pour y attendre l’arrivée de nos chercheurs de vérité. Les chercheurs de vérité t’apprendront que t’enlever tes yeux n’aura été que le premier et le plus doux de nos dons. Ils découvriront comment tu as été corrompu par les sha, ce que tu sais de leurs plans, et si nous devons t’offrir en jugement aux vents de la montagne. »
Ils recrutent toutes les 7 saisons, lorsque les arbres de leur monastère se couvrent de fleurs écarlates. L’épreuve des Fleurs rouges comporte trois parties : le test de la Résolution, le test de la Force, et le test de l’Esprit. Dans chacun d’entre eux, c’est la mort qui attend ceux qui ne sont pas dignes de brandir la bannière des Pandashan. Les épreuves comprennent par exemple de récupérer une pièce d’argent dans un braséro après avoir traversé une rivière glacée, soulevez et faire sonner des cloches magiques qui cachent la mort qui dérobe, la mort qui se cache, et la mort qui sauve… Les énigmes semblent faire partie des tests.
Au final, la plus grande mission des Pandashans est d’affronter les Shas. Voilà ce qu’ils en disent : « Vous avez vaincu un ennemi que seuls nos vétérans osent affronter. Vous avez contemplé l’horreur des sha, et senti la présence ténébreuse de ces créatures dans vos cœurs et vos esprits. Et même si votre courage et votre force vous ont sauvé la vie, cette bataille vous aura coûté bien plus que vous ne le soupçonnez. Si nous n’envoyons pas nos guerriers face à ces ennemis sans un long entraînement, c’est pour une raison. À la seconde où le combat s’est engagé, vous avez été marqués par les sha. Ils vous connaissent, à présent. Et une fois leur marque sur vous, elle ne vous quittera plus jamais. De ce jour, chaque combat contre eux sera plus dur et plus terrifiant que le précédent. Les sha vous connaissent, à présent. Ils connaissent vos esprits, vos faiblesses, vos peurs. »
o Wu Kao : des sortes de roublards parmi les Pandashans.
o Garde Sombre : les guerriers et les maîtres du combat. On trouve parmi eux les moines, dont les portes-tempêtes qui possèdent des pouvoirs élémentaires sur la foudre.
o Omnia : les mages et les prêtres.
- Les Laboureurs : un regroupement de fermiers qui sont les plus importants en taille et en influence dans la Vallée des 4 vents. Leur travail permet de nourrir la Pandarie. Ils sont dirigés par un conseil qui oriente beaucoup les choix de culture à travers la vallée et représentent les plus expérimentés et les plus productifs des agriculteurs de la région.
- Les Chroniqueurs : les érudits et archéologues, chargés d’entretenir la connaissance. Ils ont installé une base dans le Palais Impérial Mogu’shan, où ils possèdent un musée et des archives de grande importance. Historiens et bardes, ils servent de médiateurs entre les différents groupes de Pandarens en racontant des histoires en rapport avec la dispute pour offrir une perspective à leurs interlocuteurs, utilisant leurs pouvoirs de faire apparaitre les histoires qu’ils racontent.
- Les Astres Vénérables : des moines, des prêtres et quelques autres personnes en rapport avec les 4 puissants esprits qui protègent les Pandarens. Xuen le tigre blanc du nord, Chi ji la grue rouge du sud, Yu-long le serpent de jade de l’est (qui renait tous les 100 ans) et Niuzhao le buffle noir de l’ouest. « L’épée est l’arme des guerriers, mais la patience l’arme des rois » est l’une des devises de la Grue Rouge, une devise auquel tient l’ordre qui offre des conseils et des protecteurs aux peuplades de Pandarie amicales. Ils participent aussi activement à la lutte contre les Shas, le Sha du désespoir ayant pris contrôle du temple de Chi Ji jusqu’à sa défaite, le temple de Niuzhao ayant servi de prison au Sha de la peur, et le temple du serpent de jade fut pris d’assaut par le Sha du doute.
Divisé entre 4 temples ayant chacun leur propre approche de la vie, les ordres suivent les maximes des 4 grands esprits (qui sont peut-être des anciens) :
Xuen : Ton seul ennemi est toi-même. Les suivants de Xuen suivent la voie de la force et de l’honneur, et si la force physique est très importante il existe d’autres sources de force.
Chi-ji : L’espoir est le soleil après un ciel d’orage. Toujours dans le cœur, mais invisible à l’œil nu. La grue rouge est symbole d’espoir. Ses suivants s’entraînent à maîtriser leurs corps par le combat.
Niuzhao : La peur ne cherche qu’à vous affaiblir. Laissez là plutôt vous galvaniser. Leur temple se trouvant en territoire menacée par les Mantides et les Yaungols, les serviteurs se battent souvent mais ils vivent à travers l’endurance et la détermination.
Yu’lon : Il n’y à qu’une seule certitude : tout achèvement est un nouveau départ. Comme le serpent de jade renait tous les 100 ans, ils cherchent une renaissance spirituelle.
- Le Lotus Doré : « Le destin est le vent, toujours changeant. La vie est le nuage, soufflée en un instant. Le val est le ciel, éternel ». les gardiens du Val du Printemps Eternel, qui l’entretiennent et le protègent. Ce sont eux qui l’ouvriront aux réfugiés après le retour des Sha, avant de recruter des braves de la Horde et de l’Alliance pour la défense. Le Val était la demeure des Empereurs, un haut lieu de pouvoir et de sérénité. La majorité du val resta inoccupé pendant des siècles. C’est dans le val que repose une antique machine des titans ayant donné la puissance magique aux mogus de créer de nouvelles races (les sauroks) et de modifier certaines autres (les grumelots). Aujourd’hui, la magie restante fait que le printemps reste éternellement dans le val, en faisant une terre magnifique mais malheureusement le théâtre d’affrontements constants avec les mogus qui essayent de reprendre le contrôle des ressources magiques de ce territoire et avec l’invasion mantide à l’ouest.
Le recrutement du Lotus Doré est essentiellement guidé par les décisions des Astres Vénérables, qui indiquent de manière plus ou moins cryptique où trouver des candidats. Avec la guerre dans le Val, le Lotus recouru à un vieux test tombé en désuétude : on sonne dans un gong sacré, et les enfants qui l’entendent sentent leur potentiel s’activé. Ils deviennent en sorte malade et son guéris lorsqu’ils entendent le gong une 2e fois, permettant de confirmer leur appartenance. Le Lotus doré est composé de représentants des races de Pandarie : jinyus, pandarens (la majorité), hozen, et d’autres, tous liés à la terre depuis de nombreux milliers d’années, mais un tauren nouvellement arrivé fut aussi choisi pour rejoindre l’ordre, corne-rouge le fils de Dezco le marche-soleil. Concernant les décorations Mogus du Val, les membres déclarent : « Les mogu croyaient que le val était à leur service. Nous, on croit qu’on est au service du val. On laisse leurs statues en rappel de leur arrogance et de leur vanité ».
- L’ordre du Serpent-Nuage : un ordre de guerriers mystiques partageant un lien avec les puissants dragons locaux, les Serpent-Nuage. Parfois surnommé les dragons du tonnerre, nul ne sait vraiment d’où ils viennent mais ils n’ont pas de lien avec les Aspects. La légende veut que durant les derniers instants de Lei Shen, ce dernier fit pleuvoir pluie et tonnerre sur le Val de l’Eternel Printemps, et du lac frappé par les éclairs naquit le premier des serpent-nuage, Alani la née-des-tempêtes. Ils furent craints pendant des décades jusqu’à qu’une jeune pandaren nommée Jiang en élève un avec amour, qu’elle monta au combat durant les guerres contre les Zandalaris. Elle apprit ensuite à d’autres et l’ordre fut crée. Le serpent-nuage est aujourd’hui un symbole d’espoir.
- Le Marché Noir : sous le contrôle de madame Goja, il représente une plaque tournante de la contrebande intercontinentale depuis l’ouverture de la Pandarie au reste du monde. Elle travaille visiblement avec Irion, le prince noir.
- Le Peuple-ciel vit dans un village isolé et secret dans la région de l’escalier Dérobé, accessible que par les airs ou par l’Ancien Passage. Ils y dressent des faucons.
- Les Shodo-pan et les clans Pandarens (jdr) : les armées Pandarens sont organisées et équipées : ils pensent que chaque homme doit avoir le meilleur équipement possible, et chaque soldat possède au moins une bière magique, et les troupes d'élites plusieurs.
Composé de lanciers et d'archers mené par des Danseurs de Guerre, les Danseurs servant des shodo-pan, les Shodo-pan formant un corps nommé le shao'din. Leur cavalerie est composée de Danseurs de Guerre montés. Les armes à feu commencent à se répandre. Les Shao’din étant les noms des anciens clans Pandarens, il est possible que cette organisation est existée avant l’organisation des Pandashans (noté la similitude avec le nom original des Pandashans, Shado-Pan) en tant qu’armée unifiée de la Pandarie.
- Les Tushui : à l’origine formé des suivants d’Aysa Chantenuage, il s’agissait d’une des deux philosophies principales de l’île vagabonde. Elle se base sur la pratique de la méditation, d’un entrainement rigoureux et d’une conviction mentale importante. Maître Feng la décrit ainsi : « La discipline n’est pas une guerre qui est gagnée. C’est une bataille constante de tous les instants. » Pour les Tushui, il existe toujours une bonne et une mauvaise voie, et ils devront prendre la bonne quelque soit les sacrifices personnels pour y arriver. Les pandarens de cette philosophie rejoignirent l’Alliance et furent rejoints ensuite par les réfugiés de Pandarie.
- Les Huojins : à l’origine une philosophie qui prône que l’inaction est une injustice et qu’il n’y à aucune honte à défendre les siens par n’importe quel moyen ou presque. « Toujours testé. Toujours questionné. Dans la poursuite du bien suprême, l’inaction est la seule faute » est la description qu’en fait maître Zurong. Plusieurs membres de cette philosophie, menés par Ji Pattedefeu, quittèrent l’île vagabonde pour rallier la Horde, rejoints par les pandarens ralliés en Pandarie. Ils prirent tous le nom de la philosophie des premiers membres.
Personnalités :
- Chen Brune-d’orage, parfois appelé aussi Museaugrondant ou Orage-de-brune.
Le plus connu des maîtres brasseurs Pandaren, il est aussi le seul à actuellement parcourir les terres de Norfendre, Kalimdor et Lordaeron, à la recherche d’ingrédients exotiques pour fabriquer de nouvelles boissons aux pouvoirs magiques, même si aujourd’hui il visite la pandarie de ses ancêtres. Il a aidé à la lutte contre l’amiral Daelin Portvaillant, et fut un allié de Rexxar durant la fondation de Durotar.
Fondateur de la fête des brasseurs par la rivalité entre Tristevin Tonnebière et lui-même pour déterminer qui avait fabriqué la meilleure bière. Il sauva l’Indellium, une plante aux propriétés guérisseuses, des gobelins de la Kapitalrisk au nom des enfants de Cénarius et finalement participa à la quête de sa nièce pour découvrir la Pandarie de nouveau accessible après des siècles cachée derrière les brumes.
Pour beaucoup, l’incarnation d’un pandaren. Sympathique, déterminé, honnête, compréhensif, maître en arts martiaux autant que dans l’art du brassage, il a crée de nombreuses recettes et laissé une trace dans de nombreux lieux d’Azeroth. Il rêve d’aventures, de bières et d’amis pour les partager.
- Mojo Brune-d’orage : peut-être un ancêtre du précédent, il est connu pour ses ouvrages sur l’art de la guerre depuis que l’histoire existe et ses recherches sur les espèces conscientes d’Azeroth et d’Outreterre.
- Lili Brune d’orage :
La nièce du légendaire Chen, elle grandit en écoutant les histoires de son oncle malgré le désaccord de son père Chon Po, surtout après la mort de sa mère Xiu Li. Elle fut très tôt frappée par l’envie de l’errance qui marqua les fondateurs de la communauté de l’île Vagabonde. Lili finit par quitter l’île vagabonde, suivie par son professeur d’arts martiaux, Bo, et parcourue Azeroth. Après de nombreuses mésaventures, ce dernier mourut et Lili revint avec son oncle. Lorsque la perle de Pandarie fut retrouvée et la Pandarie de nouveau accessible, l’oncle et la nièce partirent à la rencontre de leurs lointains cousins.
Têtu, débrouillarde et volontaire, elle a toujours rêvé de voir le monde et de devenir un maître brasseur comme son oncle, et aujourd’hui elle est en train d’y arriver.
Bières Pandaren :
Quelques examples de productions rares et magiques issues des arts des maîtres brasseurs.
- Whisky noir (jdr) : cette boisson as été crée par Xiang pour les aventuriers qui venaient essayer de se cacher dans son bar. Un whiskey couleur d’encre, plus épais que la majorité des whiskys, et qui prend une couleur dorée lorsque la lumière le touche. Il a un goût boisé, suave et froid et il donne le pouvoir de se fondre dans les ombres.
- La bière ambrée du cheveu du chien de Chou (jdr) : il arrive extrêmement rarement d’un pandaren devienne ivre. Une parabole Pandaren dit que si quelqu’un vous tire, au lieu de résister vous devriez pousser. Cette bière à la couleur rouge ambrée au goût léger permet de retrouver l’esprit clair et aiguisé, permettant de détecter la magie.
- Bière de bravoure de Hong (jdr) : cette bière crémeuse est bue avant la bataille pour établir la camaraderie entre frères d’armes. Boire est ce qui forge le lien de fraternité dit un adage Pandaren. Cette boisson amère et épaisse est un exemple que les nains sur le front aiment consommer, et augmente le moral des troupes.
- Liqueur du combat de Hong (jdr) : crée en réponse à sa boisson d’avant-combat, cette boisson d’après-bataille est une liqueur légère maltée avec une touche de miel et de citron permettant aux combattants de se remettre des blessures et des cicatrices psychologiques de la bataille.
- Whisky du guerrier blessé (jdr) : dans la culture Pandaren, la bière est un trésor, mais le whisky est révéré. Il symbolise la santé, la constitution et la chance. La philosophie pandaren dit que le meilleur whisky peut rendre un guerrier capable d’affronter tous les ennemis. Soigne et protège contre la peur.
- Cidre de garde à vous de Chou (jdr) : la peur et l’horreur sont des réactions normales face aux morts-vivants. Chou haïssait le Fléau et créa cette boisson pour aider ceux qui le combatte. Détecte les mort-vivants et protège contre la peur et le drain de vie.
- Tonique secret du maître de l’ivresse (jdr) : Chou Ling Sing offrit le secret de cette boisson aux membres du cirque Gobelin de Slink le fort en remerciement des enseignements sur les acrobaties gobelines. Augmente la dextérité.
- Promesse du Pandaren : une bière célèbre durant la fête des Brasseurs.
- La Brune d’orage : chef d’œuvre de Chen Brune-d’Orage cette puissante boisson est faite à partir de canines de lion, de rognons de trotteur et de corne de Lézard Tonnerre, et augmente la force au détriment de l’intelligence.
- La bière Trogg : une autre recette de Chen, cette boisson est faite à partir de glandes d’éclairs d’Orageux, d’un foie de Kodo et d’une glande salivaire de faucon-tonnerre. Elle augmente les points de vie au détriment de la sagesse.
- Explobière : fabriquée avec du houblon de la jungle de Krassarang, cette bière semble disposer de capacités explosives très particulières.
- Les Maîtres Résiniers prennent le risque d’aller dans les territoires Mantides pour récolter de la résine de Khypari qui servira à produire des bières rares et prisées.
- Le vin de souvenance : fait à partir de lait cru de Yack, cette bière Pandaren (dans ce cas plus un vin mais il fait partie de l’art de la brasserie) permet de se souvenir d’événements passés de quelqu’un.
- Bière du cœur : le père brasseur Xin Wo Yin créa la bière du cœur qui donne un sentiment de bien-être et de chaleur.
- Les bières jumelles : le père brasseur Quan Tou Kuo créa des bières allant par paire, une ambrée spirituelle et une brune psychique, et si on les buvait ensemble on obtenait tous les bénéfices sans les défauts de leurs magies et alcools. Le secret en a été perdu.
- Les bières des sens : Ren Yun, père brasseur aveugle, fabriqua des bières qui décuplaient un sens chacune, jusqu’à peu avant sa mort, découvrir la bière des quatre sens qui combinaient l’éveil des 4 sens en même temps.
L’artisanat Pandaren (jdr) produit d’autres objets que les bières :
- Les Pan-lances : des lances faites de bambou avec une pointe acérée rappelant une feuille de bambou.
- Les lames Shaktani : ces lames élégantes et extrêmement coupantes sont toujours une arme de maître car leur lame courbée et leur équilibre sont très difficiles à obtenir.
- Les armures de lanciers : faites de bambou renforcé de cuir et de morceaux d’acier, c’est l’armure lourde des troupes de front.
- Les armures de danseurs de guerre sont faites selon le même principe que les armures de lanciers, mais les liens sont faites avec de la soie-acier très rare et des billes de métal creuses renforce le tout, faisant un bruit lorsqu’on les frappe.
Noms :
Noms de famille : chanteterre, doigtvert, bierremiel, grâcelumineuse, vinracine, douceliqueur, patterapide.
Féminins : Huan, Jiang, Lian, Mei, Ping, Shui, Zi.
Masculins : Chen, Jinto, Kesha, Masha, Mushi, Polo, Sinjo.
Cousins : il semblerait qu’il existe des cousins plus animaux et sauvages des Pandarens vivant en Norfendre et alliés aux Wendigos. Un groupe de ceux-ci fut vu commandé par un maître brasseur Pandaren dans la garde d’élite de Garithos lorsqu’il essaya d’empêcher les Elfes de sang de s’enfuir en outreterre.
Apparence :
Ils ont une apparence de gros panda, au corps agile, capable de courir à 4 ou 2 pattes. Ils sont experts en escalade et ont une tendance naturelle à sourire tout le temps. Ils ont une taille à peu près similaire à celle d’un humain, mais sont beaucoup plus impressionnants. Leur fourrure va du marron clair jusqu’au noir sombre.
Professions :
- Lanciers (jdr) : les défenseurs et la base des troupes. On dit qu’ils en sont à apprendre la danse de guerre. Maîtres dans la Pan-lance ils épaulent et sont commandés par un danseur de guerre, qui sélectionnera parmi eux ses apprentis.
o Danseurs de guerre : la guerre est un art pour les Pandarens, qui pratiquent la danse de guerre. Les danseurs sont des combattants agiles et rapides, aux coups élégants, précis et mortels. Ils sont l’épitome de la philosophie Pandaren appliquée à la guerre : magnifiques et redoutables, et essayant de tout faire pour ne pas utiliser leurs talents. Ils sont à la tête des combats pour leur peuple, traversant les rangs ennemis par des acrobaties de toute beauté.
o Shodo-pan : jadis le titre de l’Empereur de Pandaria, il désigne aujourd’hui le chef d’un shao’din. Un danseur de guerre doué, il doit aussi servir de géomancien et comprendre les besoins spirituels, car si le géomancien est le ministre des esprits de la terre, le shodo-pan est celui des esprits du peuple.
- Les géomanciens sont les prêtres et les mystiques qui guident leur peuple. Ils combinent les pouvoirs des shamans et des ensorceleurs. Ils pratiquent les 100 chansons des esprits.
- Maître brasseur : maître dans les arts du brassage et du combat à mains nues, ils pratiquent le style de l’ivresse et sont connus pour canaliser les éléments et cracher des flammes.
- Archer : la plupart des guerriers pandarens et des chasseurs se regroupent sous cette dénomination lorsqu’ils sont appelés au combat en tant que milice.
- Moine : pratiquant des arts martiaux. Certains des plus grands maîtres sont nommés les Sagesprits. Ils peuvent avoir atteindre une sorte d’illumination, car une certaine aura de sérénité émanent d’eux.
o Transcendant : maître mystique des Pandarens, les transcendants suivent le chemin de la géomancie pour transformer leur corps en vaisseau pour les éléments qu’ils utilisent en même temps que leurs arts martiaux.
- Maître des runes solitaires : tout comme les Taurens, les Pandarens ont sut observer les motifs des énergies leys et les canaliser. Mais contrairement à ces derniers, les maîtres des runes Pandarens canalisent l’énergie uniquement à travers eux, ne pouvant obtenir des effets affectant d’autres choses.
- Les Pandarens possèdent aussi les classes de voleur, de prêtre et de mage, sachant que ces derniers sont souvent aussi des pratiquants de la géomancie. Les chroniqueurs sont souvent des bardes.
Race neutre, de l’Alliance et de la Horde
Proverbe pandaren : le sage sait qu’il ne faut pas réveiller le pandaren qui dort.
Histoire :
Les énigmatiques Pandarens sont l’une des races les plus mystérieuses et les moins connues d’Azeroth. Leur société est dite plus vieille que celle des Elfes de la Nuit. Ils sont originaires de l’Empire Pandaren, de l’île-continent de Pandaria. Ils formèrent leur empire avec la Fracture, et avaient des relations commerciales avec les Elfes de la Nuit de ce qui deviendra le centre de Kalimdor. Ils coupèrent leurs relations lorsque ces derniers, obsédés par la recherche arcanique, devinrent les Bien-nés (futurs Hauts-elfes). Les Pandarens donnèrent aux Bien-nés un coffre vide, symbolisant toute la magie des arcanes dont les habitants de Pandarie auront besoin, c’est-à-dire aucune. La position de l’île de Pandaria est depuis un secret jalousement gardé, protégée par des brumes magiques que même les Nagas ne purent percer.
L’histoire de Pandarie fut marquée par l’existence de l’empire Mogu, appelé Ancien Empire ou 1ère dynastie par les Pandarens pour ne pas prononcer son nom. Il fut fondé il y à 12000 ans par Lei Shen, le Roi-Tonnerre. Il grimpa les échelons du pouvoir chez les Mogus, mettant fin à l’âge des 100 rois et à la domination de clans Mogus se battant les uns contre les autres en Pandarie pour prendre le contrôle entier de ce qui deviendra un continent.
Lei Shen, connaissant l’insatiable soif de connaissance des pandarens, interdit la lecture et l’écriture, fit exécuté les dirigeants et les philosophes, organisa des autodafés et imposa la langue Mogu comme seule langue sous peine de mort. Il interdit le port des armes à tous les peuples qu’il vainquit et réduisit en esclavage.
Xuen le tigre s’opposa à lui, le défiant pour la liberté des habitants de Kun’lai et perdit. Le tigre fut alors enfermé dans ce qui deviendra son temple, mais il grandit en puissance car il était le symbole de la force pour les pandarens. Un à un les autres astres vénérables, qui soutinrent la résistance, furent vaincus, et Yu’lon fut la dernière. Mais depuis sa prison elle apporta l’espoir, et des mineurs lui construisirent une statue qui lui permit de renaître et d’offrir l’espoir d’un recommencement au peuple pandaren.
Les Mogus, pour protéger leur territoire, firent ériger l’Echine du Serpent sur le sang et les larmes des esclaves qui servirent à la construire. Nombres de jeunes pandarens furent envoyés sur le mur pour protéger l’empire Mogu des Mantides et des Yaungols. Ceux qui restaient dans l’empire n’avaient pas le droit de porter des armes. Ruofe décida d’y faire quelque chose. Portant du noir, il commença à développer les arts martiaux qui deviendront plus tard les techniques des moines. Il mena la révolution qui mit fin à l’empire Mogu sous le nom de Poing de la 1ère aube. Les premiers moines et brasseurs naquirent des herboristes qui soignaient les esclaves, suivant l’enseignement du premier d’entre eux.
La révolution renversa l’empire Mogu, recréant une organisation clanique aux groupes Mogus puisqu’aucun des successeurs de Lei Shen ne disposait de sa puissance. Des empereurs détestables comme Zian des ombres éternelles, Subetai le rapide, Qiang l’impitoyable et surtout Meng le dément attisèrent les braises de la révolte par leurs politiques d’oppression.
Après la révolution qui mis fin à l’empire Mogu, la grue rouge de l’espoir mis dans le ciel un arc-en-ciel pour que les pandarens apprennent à ne plus craindre l’orage, le symbole de leur ancien oppresseur.
Après la fondation de l’empire Pandaren, durant une guerre contre les Zandalaris, Jiang fonda l’ordre du Serpent-nuage en recueillant l’un d’entre eux. Les Zandalaris, alliés des Mogus, cherchaient certainement à cette époque à gagner plus de territoire et de forces alors qu’ils étaient eux-mêmes en guerre avec les Aqirs.
Il y à 10000 ans, Shaoshao fut le dernier empereur des Pandarens, et le fondateur de l’ordre des Pandashans, des 100 guerriers du monastère du Tigre Blanc. Les Eauracles Jinyu lui avaient prédis la Fracture et il s’y préparait. Mais du doute et de sa peur naquirent les Shas, liés à la puissance du Dieu-très-ancien enfermé sous la terre, le premier d’entre eux fut le doute alors qu’il essayait de sauver son ami le roi singe, suivit par le désespoir alors qu’il était perdu dans les marécages de Krassarang, puis la peur devant les guerriers Mantides, et ensuite la colère, la violence et la haine alors qu’il voulait recruter une armée contre la Légion Ardente. Mais le Dragon de Jade vint pour l’aider, lui donnant un conseil qui vainquit le doute, la Grue Rouge fit de même et il vainquit le désespoir, le Buffle Noir aida contre la peur et le Tigre Blanc, par le sacrifice d’un des lui guerriers qu’il entrainait, aida contre les trois derniers. Libérés des 6 shas, Shaoshao vint voir son peuple mais réalisa qu’ils auraient besoin de temps pour vaincre comme lui les sentiments négatifs des Shas. Alors, le conseil du dragon lui revint, donnant à l’empereur la force d’effectuer la séparation. Il devint vent et sépara son continent totalement du reste des terres, avant de créer les brumes qui protégèrent sont peuple durant des siècles, ignorant qu’ainsi il laissa le 7e sha, celui de l’orgueil, libre. Il s’enfonça dans le sol du Val du Printemps Eternel, le faisant fleurir éternellement, cachant sous le sol du Val une prison dans laquelle le cadavre de Y’sharj attend son heure.
Depuis, les pandarens aspirent à l’illumination que trouva le dernier empereur et se libérer du pouvoir des shas.
Quelques années après la Fracture, Liu Lang part sur une petite tortue pour explorer le monde. Il revient tous les 5 ans et sa tortue grandit à chaque fois. Et il raconte les histoires de ce qu’il a vu, et d’autres pandarens veuillent devenir aussi des explorateurs. Et la tortue les prends et devient Shen-Zin Su, l’île vagabonde. Puis au bout d’un moment elle ne revient plus.
Une civilisation entière, séparée de celle de la Pandarie, fut fondée à partir de cette île. C’est celle-ci qui fut en contact avec le reste d’Azeroth durant les siècles séparant la Fracture de l’ouverture des Brumes.
Jusqu’à la découverte de la Pandarie, la plupart des habitants d’Azeroth ne connaissent rien des Pandarens. On en trouve quelques dans les Serres-rocheuses (jdr), car ils y ont installés une petite communauté. Ils ont choisis de quitter leur terre natale pour des raisons personnelles, certainement en partie pour le besoin de se laisser aller à l’exploration (quelque chose qui coule dans le sang de ceux qui ont suivi Liu Lang) ou la surpopulation. Le plus célèbre de tous est le maître brasseur Chen Brune-d’orage, qui accompagna Rexxar pour la Horde après la défaite de la Légion Ardente durant la 3e guerre.
La plupart des Pandaren sont plutôt amis avec l’Alliance (jdr), car ils sont méfiants des Elfes de Sang, des Réprouvés et des anciennes traditions vaudous trolles, mais aucun d’entre eux n’est affilié à une faction ou une autre. Les Pandaren trouvent la politique trop compliquée pour pas assez de bénéfices (jdr), et ils se voient plus comme des messagers de paix. Les Pandarens s’entendent bien avec les nains Forgefer de Bael Modan, qu’ils ont aidé contre les forces d’Illidan. Ils s’entendent bien avec les demi-elfes qui partagent nombres de leurs philosophies, les Furbolgs (malgré leurs ressemblances, les Pandarens déclarent qu’ils sont plus anciens que les Furbolgs et n’ont pas de lien de parenté) et les demi-orcs, mais ne comprennent absolument pas les gobelins (jdr).
Li Li Brune d’Orage, nièce du célèbre Chen, se retrouva impliqué durant la période de la guerre contre le Roi Liche dans une série d’événements qui révélèrent la Pandarie au reste du monde. Partant à la recherche de son oncle, elle quitta l’île vagabonde pour découvrir Azeroth. Elle fut poursuivie par des gens qui cherchaient la mythique Perle de Pandarie.
Après qu’un navire de l’Alliance transportant des prisonniers de la Horde se soit échoué sur l’île vagabonde, des Pandarens ont ainsi pris contact avec le monde extérieur. Après avoir tous travaillé ensemble à soigner la grande tortue, des pandarens ont décidé de quitter l’école de Shang Xi pour rejoindre la Horde, sous le nom de Huojin, ou l’Alliance, sous le nom de Tusui. Le nom vient des leaders pandarens des deux groupes, il s’agissait de la doctrine qu’ils suivaient à l’école.
Au même moment, la Perle de Pandarie faisait réapparition et attira plusieurs personnes vers la Pandarie. Elle guida Wanyo en dehors du ventre de la tortue géante où elle l’avait guidé plusieurs années auparavant, avant de lancer une quête qui guida Li Li et son oncle Chen Brune d’Orage à travers Azeroth jusqu’à la lointaine contrée de leurs ancêtres, la Pandarie. Se faisant, ils ouvrirent la voie pour d’autres vers ce nouveau continent, en premier lieu des expéditions Taurène et Elfe de la Nuit, suivie par deux flottes de l’Alliance et de la Horde qui s’y échouèrent après une bataille navale.
L’arrivée des forces de la Horde et de l’Alliance changèrent la balance du monde pour les Pandarens, réveillant les Shas et plongeant dans la guerre la Pandarie. Les Pandarens eux-mêmes se séparèrent en trois grandes factions : ceux qui rejoignirent la Horde ou l’Alliance, et ceux qui restèrent neutres et essayèrent de maintenir la nation Pandarène unie, menée par les Pandashans et le Lotus doré.
Alors que les forces Pandashans se sont alliées avec les forces de la Horde, menée par les Saccage-soleils, et les forces de l’Alliance, menées par le Ki-rin Tor, pour les combats sur l’île du Tonnerre, Garrosh mets cette alliance à risque en creusant le sol du Val du Printemps Eternel. Ses hommes y trouvent la prison du dieu-très-ancien des Mantides, libérant des élémentaires corrompus, et les Pandashans menacent de se lancer contre les forces de la Horde en réponse. Le marche-soleil Dezco obtint un répit pour régler le problème du chef de guerre.
A cette période, les commandos-pilleurs du Cartel Baillefonds cherchaient une arme pour leur prince-marchand, et trouvèrent le caveau du savoir. Une chroniqueuse les empêcha de prendre le parchemin vierge qui s’y trouvait, qui avait le pouvoir de faire devenir réalité les légendes, les basant sur les disputes et discussions de ceux qui violaient le sanctuaire. Le seul moyen de passer l’épreuve étant d’appliquer la fin de l’histoire avant d’être vaincu.
Les forces de Garrosh creusèrent ensuite dans le Val du Printemps, libérant la prison de Yshaar’j et la puissance du sha de la fierté. Les énergies des shas corrompirent la moitié du val, forçant les pandashans à s’élever contre la Horde. Il fallut finalement une alliance tacite des rebelles de la Horde, des pandarens et de l’Alliance pour mettre fin aux horreurs libérées par Garrosh, mais le Val ne sera plus jamais le même.
Une opération de reconstruction de la grande Statue du Serpent de jade fut décidé dans la reconstruction suivant la guerre contre Garrosh, avec l’aide d’un groupe de nains envoyés par l’Alliance.
Pandaria :
L’île elle-même est connue pour ses immenses forêts de bambous et ses gemmes : les dragons rouges avaient suggérés d’utiliser de la poudre de gemmes de Pandaria pour régénérer le puits du soleil. L’Empire Pandaren se trouvait jadis en dans le Kalimdor central avant la guerre des Anciens. C’est une zone très fertile, grâce aux eaux magiques des bassins du pouvoir, qui courent depuis le Val du Printemps jusqu’au reste du continent grâce aux machineries des Titans. Les clans Pandaren (shao’dins) (jdr) se partageaient ce territoire. Jadis un peuple de guerriers fiers et redoutables, les Pandarens choisirent de vivre reclus durant plusieurs millénaires, devenant une légende. Ils sont ressortis dans l’après Cataclysme suite à une série d’événements liés à la Perle de Pandarie.
Etant une île-continent comme l’Australie, la Pandarie n’est pas aussi grande que Kalimdor ou les Royaumes de l’Est mais plus de la taille du Norfendre. Les célèbres forêts de bambous forment le territoire le plus à l’est, celui de la Forêt de Jade. Le nord forme la chaine de montagnes du Sommet de Kun-lai, une zone de toundra qui possède de grands troupeaux de yacks et un peu d’agriculture, mais rien à comparer avec la zone centrale du continent, l’immense vallée des 4 vents. Cette zone pratiquement entièrement consacrée à l’agriculture possède un sol magique qui fait pousser les fruits et les légumes à une vitesse extraordinaire (parfois on compte ça en heures) ce qui permet de nourrir la quasi-totalité du continent. Ceci est dû aux eaux magiques issues des Bassins du Pouvoir.
Le sud est couvert par les mangroves et les jungles subtropicales des étendues sauvages du Krassarang, qui comme leur nom l’indique sont peu peuplées. Elles restent majoritairement le territoire des mogus et des sauroks même si les forces de l’Alliance et de la Horde y ont installés leurs bases de débarquement sur le continent.
L’est est divisé en deux : les steppes de Tanglong, où les tribus Yaungols survivent face aux Mantides ; et les Terres de l’Angoisse qui sont le cœur de l’empire Mantide, et sont aujourd’hui ravagées par les énergies des Shas. La Pandarie possède aussi trois zones plus petites notables : l’escalier dérobé, une sorte d’immense chemin de montagne qui permet de passer à pied à travers la chaîne de montagne qui sépare l’est du centre grâce à l’Ancien Passage, une série de tunnels construits par les mogus et occupés par les Saurocs ; l’île des géants, au nord, où les zandalaris élèvent des reptiles gigantesques comme armes de guerre ; et l’île du tonnerre à l’ouest. Cette dernière fut jadis le sommet d’une immense montagne, la montagne fulminante, où résidait le dieu des mogus (certainement un titan ou un de leurs serviteurs supérieurs) et qui devint la capitale et le palais du Roi Tonnerre. La montagne coula dans les tsunamis de la Fracture et le sommet fut sauvé par Shaoshao, devenant l’île ravagée par les orages connue aujourd’hui.
L’île vagabonde, le plus grand rassemblement de Pandaren connu d’Azeroth pendant des siècles, possédait un territoire riche et florissant. Petites forêts de bambous et champs très productifs couvrent la majorité de l’île avec une zone de petits lacs aux propriétés mystiques. 4 villages se partagent le territoire avec l’académie de Shang Xi, autour du bâtiment central du temple des 5 aubes. Une série de hautes montagnes forment la limite extérieure de la tortue Shen-Zin Su.
Culture :
La société Pandaren (dans le jdr, fait certainement plus référence à la population émigrée et à l’île vagabonde) tourne autour de cette notion de paix et d’harmonie, et la grande majorité de leurs membres sont des pacifistes et des créateurs : l’inventivité est une grande qualité chez eux. Cette notion de paix et d’harmonie découle certainement des enseignements de Shaohao lorsqu’il atteint un état d’illumination après s’être libéré des Shas, auquel les Pandarens aspirent. La majorité de la population sont poètes ou chanteurs, et les créateurs et artisans sont révérés, mais devant la difficulté de la vie une caste de guerrier s’est instaurée. Tout Pandaren est capable de se battre en dernier recours, même s’ils préfèrent les armes qui montrent leur statut de civilisation, les Pandaren apprennent durant leur enfance dans des jeux et exercices à se servir de leurs griffes et à développer leur agilité.
Bien que souvent considéré comme inoffensifs et mignons par ceux qui les croisent, les Pandaren sont tous les héritiers d’une longue tradition mystique d’arts du combat, basés sur l’agilité et la vitesse.
La société Pandaren (jdr) est très complexe et ils n’ont jamais expliqué à aucun étranger les différentes castes et organisations sociales. On sait que l’art de brasser les alcools est sacré pour eux, et la consommation de boisson sacrée. Ils ont donc lié une certaine amitié avec les nains Forgefer pour leur passion commune des bières. La plus grande partie des Pandaren croisés en dehors de Pandarie appartiennent à l’ordre des maîtres brasseurs, des maîtres en art martiaux et dans l’art de préparer des alcools. Ils visitent le monde le plus souvent pour trouver de nouveaux ingrédients pour leurs boissons, créant des breuvages magiques que seuls les plus puissants alchimistes peuvent copier, et n’ayant aucun rapport question goût.
La société de l’île vagabonde est un microcosme de la société Pandarene, possédant encore de nombreuses traditions inchangées depuis que la tortue n’est plus retournée en Pandarie. L’office la plus importante est l’école d’arts martiaux de Shang Xi, où visiblement tous les jeunes de l’île passent à un moment ou à un autre. Les élèves sont divisés en deux grandes philosophies selon leur personnalité : les Huojin sont des défenseurs, des guerriers volontaires ; les Tushui cherchent l’illumination par la patience et la méditation.
L’errance, le désir d’explorer, est fort chez les Pandarens de l’île Vagabonde, ce qui explique que beaucoup de jeunes ont quitté la tortue pour découvrir Azeroth et partir à la recherche de nouveaux ingrédients pour de nouvelles bières.
La société Pandarène de Pandarie est marquée par une longue histoire de domination par les mogus et la constante menace de leurs anciens oppresseurs ainsi que des Yaungols, des Saurocs et surtout des Mantides.
Les pandarens sont extrêmement routiniers en général, ce qui se marque dans leurs pratiques de récolte de produits comme le minerai ou les plantes.
Religion :
Les Pandaren sont des êtres religieux et philosophes. Leur religion, la géomancie, repose sur l’harmonie dans toutes choses : l’équilibre entre les opposés : mâle et femelle, chaos et ordre, existence et non-existence, et les 5 éléments qui construisent le monde selon un pentacle : bois, terre, feu, métal et eau. La géomancie est identique au shamanisme dans le respect des esprits, la vénération des éléments et tirée son pouvoir de la Terre-mère ; mais contrairement au shamanisme c’est une société qui réagit et ne répond pas : les shamans suivent les éléments et corrigent ce qui provoque des troubles, les géomanciens réagissent et changent les choses pour que le trouble ne soit plus. Ils sont comme l’eau autour d’un roc : le courant contourne, alors que les shamans essayeraient de déplacer le roc ou de trouver un autre chemin. La géomancie est aussi une pratique qui combine l’utilisation des énergies arcaniques et des énergies divines, toutes les deux issues de l’univers.
Les légendes pandarens disent que les esprits et les énergies s'agitent dans le cosmos : esprits et énergie définissent la réalité, et de ces deux sources vitales la vie est formée. Telle est la base de la géomancie pandaren. Contrairement à beaucoup de pratiques géomanciennes, les pandarens sont très proches des shamans, vivant en bonne harmonie avec les éléments alors que généralement les géomanciens réduisent les éléments en esclavages.
Shen-Zin Su, l’île vagabonde, possède 4 puissants élémentaires auxquels les habitants font appel lorsque la grande tortue souffre d’un problème : Huo du feu, Wugon de la terre, Sju de l’eau et Dafeng de l’air.
Les Transcendents (jdr) essayent de devenir des avatars de ses énergies créatrices de l'univers, de les contenir dans leur corps, ce qui font d'eux des esthètes, des guerriers et des mystiques. Les Transcendants sont des héros pour le peuple Pandaren : très rares, ils ont tous jurés de défendre leur peuple, et sont la sagesse incarnée : la puissance créatrice de l'univers contenue dans le corps physique d'un pandaren. Les transcendants se manifestent avec les éléments tempête, terre et feu, le premier élément certainement une manifestation de l’eau dans un pays qui doit connaître des moussons dans le sud.
Les Pandarens ont une révérence envers leurs ancêtres, qu’ils consultent parfois sous l’apparence de fantômes connus comme les Pandriarches (souvent les fondateurs de clans ou de lignées), mais ils les révèrent sans les vénérer comme un culte.
« Certains pandarens brûlaient de se venger, et ils firent tout leur possible pour devenir plus forts, en prévision du jour où ils auraient la possibilité de frapper les mogus. La colère était une source de motivation de tous les instants. Mais qu’est-ce que la force sans contrôle ? Ces pauvres esclaves devinrent bien vite les instruments du courroux, ce qui les conduisit à tourner leur haine contre tout le monde. Ils avaient oublié la leçon la plus fondamentale de Xuen : « Le seul ennemi est en vous. » »
— Les parchemins des vénérables.
L’opposition aux Mogus fonda un culte nommé le Culte des Vénérables, dédié aux Astres Vénérables. Ce culte fut interdit sous l’empire Mogu, et le culte perdit beaucoup de son savoir et de ses traditions durant cette sombre période de plusieurs siècles. Chacun des astres, ayant aidé les rebelles, fut vaincu un par un et emprisonné. Le dernier à tomber fut Yu’lon, qui se retrouva enfermé dans une mine de jade, mais de là elle ouvrit sa magie et offrit sa sagesse aux mineurs de jade. En échange, elle leur demanda de construire une statue en son honneur, statue d’où elle renaquit et offrit un nouvel espoir au peuple Pandaren, espoir qui donna naissance à Kang le poing de la première aube.
Traditions :
Ils ne pleurent pas les échecs : ils étaient mal préparés et feront mieux la prochaine fois. Cette philosophie se retrouve dans tout ce qu’ils font, que ce soit des arts martiaux à la cuisine (jdr). Ils sont affables et calmes et offrent toujours la patte à un voyageur sur le chemin… mais cette patte peut devenir une arme si jamais le voyageur se montre hostile.
Les valeurs les plus importantes pour les Pandaren sont l’honneur, l’amitié et la discipline. « Famille, amis, nourriture, voilà ce qui est important. » est une devise courante chez les Pandarens qui explique leur vision du monde. Les Pandarens sont excentriques, ne restent jamais longtemps à la même place, mais font de grands amis et protecteurs.
Parmi les traditions Pandaren ont connaît l’art de l’acupuncture (jdr). L’art le plus célèbre reste néanmoins l’art du brasseur. Les trois plus grands maîtres brasseurs furent Chou Ling Sing, Hong Liu et Xiang. Cela surprend souvent les gens qui rencontrent des Pandaren pour la première fois. Une bonne journée pour un Pandaren débute avec de la méditation et finit avec une bonne bière partagée avec un ami. La bière est considérée par la plupart des habitants de Kalimdor comme une boisson des masses qui embrouille l’esprit et détourne des dieux, mais les Pandaren rient à cette notion. Les Pandaren aiment les gens qui vivent la vie jusqu’au bout, et aiment l’aventure et raconter des histoires autour d’un verre dans une taverne. Ceux qui ont la chance de partager la boisson d’un pandaren trouveront que ce sont les meilleurs au monde, et jamais ils n’arriveront ensuite à être satisfaits uniquement avec les boissons de Kalimdor. Les Pandarens sont un peuple avec des nombreuses traditions et arts importants pour leur façon de vivre, et aucun ne l’as as autant influencé que celui du brassage. Boire se trouve impliqué dans toutes les facettes de la vie d’un pandaren, et l’art du brassage demande de trouver des ingrédients et manier de puissantes forces magiques pour créer les mythiques bières Pandaren. Boire et brasser sont des rituels pour eux dans la vie de tous les jours, et surtout en rapport avec le combat. Le brassage est considéré comme l’une des plus nobles poursuites, et les maîtres brasseurs comme des prêtres.
Bien que boire soit une des bases de leur société, les Pandaren se rendent que très rarement ivre (jdr), du moins par le passé. Aujourd’hui il n’est pas rare de voir des pandarens ivres tout au long de la journée et les alcools forts font de plus en plus fureur.
En tant que civilisation tournant autour de la cuisine, ils ont beaucoup de traditions concernant la nourriture. La famille des Pattes de Fer possède un système d’apprentissage de la cuisine avec une étude des différentes voies traditionnelles de préparation des aliments, et par exemple le rare Gourami Tigre Volant est réservé à la consommation de la famille royale.
Les Pandarens ne sont pas de particulièrement bons inventeurs, et plutôt que de devenir bricoleurs, ils préfèrent apprendre à fabriquer un type particulier d'objet et se spécialisent dans la matière. En dehors de la fabrication d'objets en rapport avec la distillerie de bières, ils n'inventent rien : ils fabriquent des objets déjà connus. Dans le domaine de la distillerie, ils effectuent des essais et des innovations sans cesse. Nombres de pandarens pensent que les alcools créent artificiellement sont corrompus ou moins bons que ceux naturellement, mais ce n'est pas le cas de tous.
Les arts martiaux sont comme tout chez les Pandaren : ils essayent de se perfectionner dedans et d’atteindre leurs limites. Si un pandaren blessé ne peut plus donner de hauts coups de pieds, il s’entraînera sur une autre voie de combat. Si l’adversaire est grand et fort, il ne lui opposera pas la force. Il cherchera toujours la façon la plus réfléchie de le battre en utilisant le moins de force possible.
Les Pandarens fabriquent de petites figurines funéraires pour surmonter le deuil.
Les Pandarens impliqués dans une dispute qui sème la discorde dont appel à un chroniqueur. Celui-ci écoute les deux partis et leur raconte une histoire qui les pousse à remettre leurs opinions en cause. Ils possèdent souvent des pouvoirs magiques permettant de créer des images des histoires qu’ils racontent. « Pourquoi les pandarens utilisent-ils leurs histoires pour régler leurs problèmes ? » demanda un gobelin lorsqu’il apprit cela. La chroniqueuse lui répondit : « Oh, ce n’est pas que nous. Chaque peuple a ses histoires qu’il conte et raconte. Nous les aimons, parce qu’elles apportent des réponses simples qui nous aident à trouver les réponses compliquées. Mais les histoires sont dangereuses. Des fois, nous oublions que les histoires enfreignent les règles. Les réponses simples ne se soucient pas des conséquences, et il y en a toujours beaucoup ». Les histoires comprennent :
- Le Labyrinthe de l’empereur fou Ko. L’empereur Ko était gouverné par la peur. Il était persuadé que les mogu reviendraient. À travers le voile de sa paranoïa, il voyait la traîtrise derrière chaque sourire, une machination derrière chaque vœu de fidélité, et des pièges vicieux jusque dans les tranquilles prophéties des eauracles jinyu. Il fit donc construire un labyrinthe sous son palais, avec une pièce protégée en son centre. Et quand la peur revint le hanter, il s’y réfugia et ferma la porte en attendant que la terreur retombe. Mais ce moment ne vint jamais ; le labyrinthe avait été tracé si habilement que lui-même avait oublié le chemin de la sortie. Les gens envoyés à sa recherche l’entendaient parfois appeler… Mais les années passèrent. Parfois, un explorateur entrait dans le labyrinthe, mais en ressortait en hurlant, fou de terreur. Car tout ce temps plongé dans les ténèbres avait transformé Ko en une chose si horrible qu’il était insoutenable de la regarder…Un jour, un ourson appelé Li Tao suivit son raton voleur jusque dans le labyrinthe. Il se rendit vit compte qu’il était suivi. Mais même s’il avait trop peur pour regarder, le petit Li Tao comprit qu’il y avait quelqu’un qui avait encore plus peur que lui. Alors il tendit la patte en arrière et mena le pauvre empereur Ko jusqu’à la sortie du labyrinthe. La peur et la paranoïa font de nos ennemis des monstres. Quelqu’un doit faire le premier geste.
- Di Chen était le plus grand guerrier de son époque, et demanda à une sorcière du désert de lui créer des adversaires. Et les sables du désert devinrent une armée inépuisable. La bataille ne prendrait fin que lorsque Di Chen admettrait qu’il existait des défis trop difficiles même pour lui. À ce jour, il continue à se battre. On trouve toujours des raisons de faire la guerre. Ce qu’il faut, c’est savoir quand s’arrêter.
- Les Araignées de Te Zhuo. Des milliers de petites — mais pas assez petites — créatures menacent ceux qui violent le temple. Aucun explorateur ayant pénétré dans le temple de Te Zhuo n’en est jamais revenu ; il s’agit plus d’une légende dissuasive que d’une histoire. On ne les revoit jamais mais on les entend hurler à propos d’araignées.
Jadis, les candidats à la position d’empereur devaient aller faire le tournoi des Astres Vénérables pour espérer obtenir le trône. Ce tournoi se passait sur l’île du Temps Figé, une île marquée par les énergies du temps, et qui disparut visiblement aux alentours de la séparation de la Pandarie du reste de Kalimdor. Elle est réapparue durant la période du Siège d’Orgrimmar, attirant l’attention de la Horde, de l’Alliance et du Vol de Bronze.
La chasse au jade est une tradition pandarène de course au minage de jade, le gagnant étant celui qui en rapporte le plus de l’aube jusqu’au crépuscule.
Organisations Pandarens :
- L’ordre des Pandashans (en anglais Shado-Pan) : ils forment les protecteurs de la Pandarie, des guerriers honorables et compétents. Ils défendent l’Echine du Serpent contre les Yaungols et les invasions de Mantides (tous les 100 ans), et le reste des terres contre les Mogu et les bandits. Leur chef est Taran Zhu, qui mena l’assaut contre l’île du Tonnerre, avant de s’opposer à Garrosh puis d’emmener l’ex-chef de guerre faire face à son jugement en Pandarie.
Les pandashans s’entraînent durement pour contrôler leurs émotions, qui ne doivent pas influencer leur jugement.
Les Pandashans ont, d’après les rumeurs, de terribles punitions pour ceux qui nuisent à leur mission. Un d’entre eux dit : « Dans ce cas, nous devrons prendre le parchemin, ainsi que ta vie. Mais ne va pas penser qu’il s’agit simplement de te tuer, petit voleur. Quand nous, les Pandashan, nous emparons d’une vie, ça signifie qu’elle devient notre possession. Nous allons t’attacher, t’enlever tes yeux, tes pieds et tous tes doigts, sauf deux pour que tu puisses te nourrir. Ensuite, tu seras attaché sur une monture et emmené à notre monastère, en haut du sommet de Kun-Lai. Là-bas, tu seras déposé sur une corniche glacée pour y attendre l’arrivée de nos chercheurs de vérité. Les chercheurs de vérité t’apprendront que t’enlever tes yeux n’aura été que le premier et le plus doux de nos dons. Ils découvriront comment tu as été corrompu par les sha, ce que tu sais de leurs plans, et si nous devons t’offrir en jugement aux vents de la montagne. »
Ils recrutent toutes les 7 saisons, lorsque les arbres de leur monastère se couvrent de fleurs écarlates. L’épreuve des Fleurs rouges comporte trois parties : le test de la Résolution, le test de la Force, et le test de l’Esprit. Dans chacun d’entre eux, c’est la mort qui attend ceux qui ne sont pas dignes de brandir la bannière des Pandashan. Les épreuves comprennent par exemple de récupérer une pièce d’argent dans un braséro après avoir traversé une rivière glacée, soulevez et faire sonner des cloches magiques qui cachent la mort qui dérobe, la mort qui se cache, et la mort qui sauve… Les énigmes semblent faire partie des tests.
Au final, la plus grande mission des Pandashans est d’affronter les Shas. Voilà ce qu’ils en disent : « Vous avez vaincu un ennemi que seuls nos vétérans osent affronter. Vous avez contemplé l’horreur des sha, et senti la présence ténébreuse de ces créatures dans vos cœurs et vos esprits. Et même si votre courage et votre force vous ont sauvé la vie, cette bataille vous aura coûté bien plus que vous ne le soupçonnez. Si nous n’envoyons pas nos guerriers face à ces ennemis sans un long entraînement, c’est pour une raison. À la seconde où le combat s’est engagé, vous avez été marqués par les sha. Ils vous connaissent, à présent. Et une fois leur marque sur vous, elle ne vous quittera plus jamais. De ce jour, chaque combat contre eux sera plus dur et plus terrifiant que le précédent. Les sha vous connaissent, à présent. Ils connaissent vos esprits, vos faiblesses, vos peurs. »
o Wu Kao : des sortes de roublards parmi les Pandashans.
o Garde Sombre : les guerriers et les maîtres du combat. On trouve parmi eux les moines, dont les portes-tempêtes qui possèdent des pouvoirs élémentaires sur la foudre.
o Omnia : les mages et les prêtres.
- Les Laboureurs : un regroupement de fermiers qui sont les plus importants en taille et en influence dans la Vallée des 4 vents. Leur travail permet de nourrir la Pandarie. Ils sont dirigés par un conseil qui oriente beaucoup les choix de culture à travers la vallée et représentent les plus expérimentés et les plus productifs des agriculteurs de la région.
- Les Chroniqueurs : les érudits et archéologues, chargés d’entretenir la connaissance. Ils ont installé une base dans le Palais Impérial Mogu’shan, où ils possèdent un musée et des archives de grande importance. Historiens et bardes, ils servent de médiateurs entre les différents groupes de Pandarens en racontant des histoires en rapport avec la dispute pour offrir une perspective à leurs interlocuteurs, utilisant leurs pouvoirs de faire apparaitre les histoires qu’ils racontent.
- Les Astres Vénérables : des moines, des prêtres et quelques autres personnes en rapport avec les 4 puissants esprits qui protègent les Pandarens. Xuen le tigre blanc du nord, Chi ji la grue rouge du sud, Yu-long le serpent de jade de l’est (qui renait tous les 100 ans) et Niuzhao le buffle noir de l’ouest. « L’épée est l’arme des guerriers, mais la patience l’arme des rois » est l’une des devises de la Grue Rouge, une devise auquel tient l’ordre qui offre des conseils et des protecteurs aux peuplades de Pandarie amicales. Ils participent aussi activement à la lutte contre les Shas, le Sha du désespoir ayant pris contrôle du temple de Chi Ji jusqu’à sa défaite, le temple de Niuzhao ayant servi de prison au Sha de la peur, et le temple du serpent de jade fut pris d’assaut par le Sha du doute.
Divisé entre 4 temples ayant chacun leur propre approche de la vie, les ordres suivent les maximes des 4 grands esprits (qui sont peut-être des anciens) :
Xuen : Ton seul ennemi est toi-même. Les suivants de Xuen suivent la voie de la force et de l’honneur, et si la force physique est très importante il existe d’autres sources de force.
Chi-ji : L’espoir est le soleil après un ciel d’orage. Toujours dans le cœur, mais invisible à l’œil nu. La grue rouge est symbole d’espoir. Ses suivants s’entraînent à maîtriser leurs corps par le combat.
Niuzhao : La peur ne cherche qu’à vous affaiblir. Laissez là plutôt vous galvaniser. Leur temple se trouvant en territoire menacée par les Mantides et les Yaungols, les serviteurs se battent souvent mais ils vivent à travers l’endurance et la détermination.
Yu’lon : Il n’y à qu’une seule certitude : tout achèvement est un nouveau départ. Comme le serpent de jade renait tous les 100 ans, ils cherchent une renaissance spirituelle.
- Le Lotus Doré : « Le destin est le vent, toujours changeant. La vie est le nuage, soufflée en un instant. Le val est le ciel, éternel ». les gardiens du Val du Printemps Eternel, qui l’entretiennent et le protègent. Ce sont eux qui l’ouvriront aux réfugiés après le retour des Sha, avant de recruter des braves de la Horde et de l’Alliance pour la défense. Le Val était la demeure des Empereurs, un haut lieu de pouvoir et de sérénité. La majorité du val resta inoccupé pendant des siècles. C’est dans le val que repose une antique machine des titans ayant donné la puissance magique aux mogus de créer de nouvelles races (les sauroks) et de modifier certaines autres (les grumelots). Aujourd’hui, la magie restante fait que le printemps reste éternellement dans le val, en faisant une terre magnifique mais malheureusement le théâtre d’affrontements constants avec les mogus qui essayent de reprendre le contrôle des ressources magiques de ce territoire et avec l’invasion mantide à l’ouest.
Le recrutement du Lotus Doré est essentiellement guidé par les décisions des Astres Vénérables, qui indiquent de manière plus ou moins cryptique où trouver des candidats. Avec la guerre dans le Val, le Lotus recouru à un vieux test tombé en désuétude : on sonne dans un gong sacré, et les enfants qui l’entendent sentent leur potentiel s’activé. Ils deviennent en sorte malade et son guéris lorsqu’ils entendent le gong une 2e fois, permettant de confirmer leur appartenance. Le Lotus doré est composé de représentants des races de Pandarie : jinyus, pandarens (la majorité), hozen, et d’autres, tous liés à la terre depuis de nombreux milliers d’années, mais un tauren nouvellement arrivé fut aussi choisi pour rejoindre l’ordre, corne-rouge le fils de Dezco le marche-soleil. Concernant les décorations Mogus du Val, les membres déclarent : « Les mogu croyaient que le val était à leur service. Nous, on croit qu’on est au service du val. On laisse leurs statues en rappel de leur arrogance et de leur vanité ».
- L’ordre du Serpent-Nuage : un ordre de guerriers mystiques partageant un lien avec les puissants dragons locaux, les Serpent-Nuage. Parfois surnommé les dragons du tonnerre, nul ne sait vraiment d’où ils viennent mais ils n’ont pas de lien avec les Aspects. La légende veut que durant les derniers instants de Lei Shen, ce dernier fit pleuvoir pluie et tonnerre sur le Val de l’Eternel Printemps, et du lac frappé par les éclairs naquit le premier des serpent-nuage, Alani la née-des-tempêtes. Ils furent craints pendant des décades jusqu’à qu’une jeune pandaren nommée Jiang en élève un avec amour, qu’elle monta au combat durant les guerres contre les Zandalaris. Elle apprit ensuite à d’autres et l’ordre fut crée. Le serpent-nuage est aujourd’hui un symbole d’espoir.
- Le Marché Noir : sous le contrôle de madame Goja, il représente une plaque tournante de la contrebande intercontinentale depuis l’ouverture de la Pandarie au reste du monde. Elle travaille visiblement avec Irion, le prince noir.
- Le Peuple-ciel vit dans un village isolé et secret dans la région de l’escalier Dérobé, accessible que par les airs ou par l’Ancien Passage. Ils y dressent des faucons.
- Les Shodo-pan et les clans Pandarens (jdr) : les armées Pandarens sont organisées et équipées : ils pensent que chaque homme doit avoir le meilleur équipement possible, et chaque soldat possède au moins une bière magique, et les troupes d'élites plusieurs.
Composé de lanciers et d'archers mené par des Danseurs de Guerre, les Danseurs servant des shodo-pan, les Shodo-pan formant un corps nommé le shao'din. Leur cavalerie est composée de Danseurs de Guerre montés. Les armes à feu commencent à se répandre. Les Shao’din étant les noms des anciens clans Pandarens, il est possible que cette organisation est existée avant l’organisation des Pandashans (noté la similitude avec le nom original des Pandashans, Shado-Pan) en tant qu’armée unifiée de la Pandarie.
- Les Tushui : à l’origine formé des suivants d’Aysa Chantenuage, il s’agissait d’une des deux philosophies principales de l’île vagabonde. Elle se base sur la pratique de la méditation, d’un entrainement rigoureux et d’une conviction mentale importante. Maître Feng la décrit ainsi : « La discipline n’est pas une guerre qui est gagnée. C’est une bataille constante de tous les instants. » Pour les Tushui, il existe toujours une bonne et une mauvaise voie, et ils devront prendre la bonne quelque soit les sacrifices personnels pour y arriver. Les pandarens de cette philosophie rejoignirent l’Alliance et furent rejoints ensuite par les réfugiés de Pandarie.
- Les Huojins : à l’origine une philosophie qui prône que l’inaction est une injustice et qu’il n’y à aucune honte à défendre les siens par n’importe quel moyen ou presque. « Toujours testé. Toujours questionné. Dans la poursuite du bien suprême, l’inaction est la seule faute » est la description qu’en fait maître Zurong. Plusieurs membres de cette philosophie, menés par Ji Pattedefeu, quittèrent l’île vagabonde pour rallier la Horde, rejoints par les pandarens ralliés en Pandarie. Ils prirent tous le nom de la philosophie des premiers membres.
Personnalités :
- Chen Brune-d’orage, parfois appelé aussi Museaugrondant ou Orage-de-brune.
Le plus connu des maîtres brasseurs Pandaren, il est aussi le seul à actuellement parcourir les terres de Norfendre, Kalimdor et Lordaeron, à la recherche d’ingrédients exotiques pour fabriquer de nouvelles boissons aux pouvoirs magiques, même si aujourd’hui il visite la pandarie de ses ancêtres. Il a aidé à la lutte contre l’amiral Daelin Portvaillant, et fut un allié de Rexxar durant la fondation de Durotar.
Fondateur de la fête des brasseurs par la rivalité entre Tristevin Tonnebière et lui-même pour déterminer qui avait fabriqué la meilleure bière. Il sauva l’Indellium, une plante aux propriétés guérisseuses, des gobelins de la Kapitalrisk au nom des enfants de Cénarius et finalement participa à la quête de sa nièce pour découvrir la Pandarie de nouveau accessible après des siècles cachée derrière les brumes.
Pour beaucoup, l’incarnation d’un pandaren. Sympathique, déterminé, honnête, compréhensif, maître en arts martiaux autant que dans l’art du brassage, il a crée de nombreuses recettes et laissé une trace dans de nombreux lieux d’Azeroth. Il rêve d’aventures, de bières et d’amis pour les partager.
- Mojo Brune-d’orage : peut-être un ancêtre du précédent, il est connu pour ses ouvrages sur l’art de la guerre depuis que l’histoire existe et ses recherches sur les espèces conscientes d’Azeroth et d’Outreterre.
- Lili Brune d’orage :
La nièce du légendaire Chen, elle grandit en écoutant les histoires de son oncle malgré le désaccord de son père Chon Po, surtout après la mort de sa mère Xiu Li. Elle fut très tôt frappée par l’envie de l’errance qui marqua les fondateurs de la communauté de l’île Vagabonde. Lili finit par quitter l’île vagabonde, suivie par son professeur d’arts martiaux, Bo, et parcourue Azeroth. Après de nombreuses mésaventures, ce dernier mourut et Lili revint avec son oncle. Lorsque la perle de Pandarie fut retrouvée et la Pandarie de nouveau accessible, l’oncle et la nièce partirent à la rencontre de leurs lointains cousins.
Têtu, débrouillarde et volontaire, elle a toujours rêvé de voir le monde et de devenir un maître brasseur comme son oncle, et aujourd’hui elle est en train d’y arriver.
Bières Pandaren :
Quelques examples de productions rares et magiques issues des arts des maîtres brasseurs.
- Whisky noir (jdr) : cette boisson as été crée par Xiang pour les aventuriers qui venaient essayer de se cacher dans son bar. Un whiskey couleur d’encre, plus épais que la majorité des whiskys, et qui prend une couleur dorée lorsque la lumière le touche. Il a un goût boisé, suave et froid et il donne le pouvoir de se fondre dans les ombres.
- La bière ambrée du cheveu du chien de Chou (jdr) : il arrive extrêmement rarement d’un pandaren devienne ivre. Une parabole Pandaren dit que si quelqu’un vous tire, au lieu de résister vous devriez pousser. Cette bière à la couleur rouge ambrée au goût léger permet de retrouver l’esprit clair et aiguisé, permettant de détecter la magie.
- Bière de bravoure de Hong (jdr) : cette bière crémeuse est bue avant la bataille pour établir la camaraderie entre frères d’armes. Boire est ce qui forge le lien de fraternité dit un adage Pandaren. Cette boisson amère et épaisse est un exemple que les nains sur le front aiment consommer, et augmente le moral des troupes.
- Liqueur du combat de Hong (jdr) : crée en réponse à sa boisson d’avant-combat, cette boisson d’après-bataille est une liqueur légère maltée avec une touche de miel et de citron permettant aux combattants de se remettre des blessures et des cicatrices psychologiques de la bataille.
- Whisky du guerrier blessé (jdr) : dans la culture Pandaren, la bière est un trésor, mais le whisky est révéré. Il symbolise la santé, la constitution et la chance. La philosophie pandaren dit que le meilleur whisky peut rendre un guerrier capable d’affronter tous les ennemis. Soigne et protège contre la peur.
- Cidre de garde à vous de Chou (jdr) : la peur et l’horreur sont des réactions normales face aux morts-vivants. Chou haïssait le Fléau et créa cette boisson pour aider ceux qui le combatte. Détecte les mort-vivants et protège contre la peur et le drain de vie.
- Tonique secret du maître de l’ivresse (jdr) : Chou Ling Sing offrit le secret de cette boisson aux membres du cirque Gobelin de Slink le fort en remerciement des enseignements sur les acrobaties gobelines. Augmente la dextérité.
- Promesse du Pandaren : une bière célèbre durant la fête des Brasseurs.
- La Brune d’orage : chef d’œuvre de Chen Brune-d’Orage cette puissante boisson est faite à partir de canines de lion, de rognons de trotteur et de corne de Lézard Tonnerre, et augmente la force au détriment de l’intelligence.
- La bière Trogg : une autre recette de Chen, cette boisson est faite à partir de glandes d’éclairs d’Orageux, d’un foie de Kodo et d’une glande salivaire de faucon-tonnerre. Elle augmente les points de vie au détriment de la sagesse.
- Explobière : fabriquée avec du houblon de la jungle de Krassarang, cette bière semble disposer de capacités explosives très particulières.
- Les Maîtres Résiniers prennent le risque d’aller dans les territoires Mantides pour récolter de la résine de Khypari qui servira à produire des bières rares et prisées.
- Le vin de souvenance : fait à partir de lait cru de Yack, cette bière Pandaren (dans ce cas plus un vin mais il fait partie de l’art de la brasserie) permet de se souvenir d’événements passés de quelqu’un.
- Bière du cœur : le père brasseur Xin Wo Yin créa la bière du cœur qui donne un sentiment de bien-être et de chaleur.
- Les bières jumelles : le père brasseur Quan Tou Kuo créa des bières allant par paire, une ambrée spirituelle et une brune psychique, et si on les buvait ensemble on obtenait tous les bénéfices sans les défauts de leurs magies et alcools. Le secret en a été perdu.
- Les bières des sens : Ren Yun, père brasseur aveugle, fabriqua des bières qui décuplaient un sens chacune, jusqu’à peu avant sa mort, découvrir la bière des quatre sens qui combinaient l’éveil des 4 sens en même temps.
L’artisanat Pandaren (jdr) produit d’autres objets que les bières :
- Les Pan-lances : des lances faites de bambou avec une pointe acérée rappelant une feuille de bambou.
- Les lames Shaktani : ces lames élégantes et extrêmement coupantes sont toujours une arme de maître car leur lame courbée et leur équilibre sont très difficiles à obtenir.
- Les armures de lanciers : faites de bambou renforcé de cuir et de morceaux d’acier, c’est l’armure lourde des troupes de front.
- Les armures de danseurs de guerre sont faites selon le même principe que les armures de lanciers, mais les liens sont faites avec de la soie-acier très rare et des billes de métal creuses renforce le tout, faisant un bruit lorsqu’on les frappe.
Noms :
Noms de famille : chanteterre, doigtvert, bierremiel, grâcelumineuse, vinracine, douceliqueur, patterapide.
Féminins : Huan, Jiang, Lian, Mei, Ping, Shui, Zi.
Masculins : Chen, Jinto, Kesha, Masha, Mushi, Polo, Sinjo.
Cousins : il semblerait qu’il existe des cousins plus animaux et sauvages des Pandarens vivant en Norfendre et alliés aux Wendigos. Un groupe de ceux-ci fut vu commandé par un maître brasseur Pandaren dans la garde d’élite de Garithos lorsqu’il essaya d’empêcher les Elfes de sang de s’enfuir en outreterre.
Apparence :
Ils ont une apparence de gros panda, au corps agile, capable de courir à 4 ou 2 pattes. Ils sont experts en escalade et ont une tendance naturelle à sourire tout le temps. Ils ont une taille à peu près similaire à celle d’un humain, mais sont beaucoup plus impressionnants. Leur fourrure va du marron clair jusqu’au noir sombre.
Professions :
- Lanciers (jdr) : les défenseurs et la base des troupes. On dit qu’ils en sont à apprendre la danse de guerre. Maîtres dans la Pan-lance ils épaulent et sont commandés par un danseur de guerre, qui sélectionnera parmi eux ses apprentis.
o Danseurs de guerre : la guerre est un art pour les Pandarens, qui pratiquent la danse de guerre. Les danseurs sont des combattants agiles et rapides, aux coups élégants, précis et mortels. Ils sont l’épitome de la philosophie Pandaren appliquée à la guerre : magnifiques et redoutables, et essayant de tout faire pour ne pas utiliser leurs talents. Ils sont à la tête des combats pour leur peuple, traversant les rangs ennemis par des acrobaties de toute beauté.
o Shodo-pan : jadis le titre de l’Empereur de Pandaria, il désigne aujourd’hui le chef d’un shao’din. Un danseur de guerre doué, il doit aussi servir de géomancien et comprendre les besoins spirituels, car si le géomancien est le ministre des esprits de la terre, le shodo-pan est celui des esprits du peuple.
- Les géomanciens sont les prêtres et les mystiques qui guident leur peuple. Ils combinent les pouvoirs des shamans et des ensorceleurs. Ils pratiquent les 100 chansons des esprits.
- Maître brasseur : maître dans les arts du brassage et du combat à mains nues, ils pratiquent le style de l’ivresse et sont connus pour canaliser les éléments et cracher des flammes.
- Archer : la plupart des guerriers pandarens et des chasseurs se regroupent sous cette dénomination lorsqu’ils sont appelés au combat en tant que milice.
- Moine : pratiquant des arts martiaux. Certains des plus grands maîtres sont nommés les Sagesprits. Ils peuvent avoir atteindre une sorte d’illumination, car une certaine aura de sérénité émanent d’eux.
o Transcendant : maître mystique des Pandarens, les transcendants suivent le chemin de la géomancie pour transformer leur corps en vaisseau pour les éléments qu’ils utilisent en même temps que leurs arts martiaux.
- Maître des runes solitaires : tout comme les Taurens, les Pandarens ont sut observer les motifs des énergies leys et les canaliser. Mais contrairement à ces derniers, les maîtres des runes Pandarens canalisent l’énergie uniquement à travers eux, ne pouvant obtenir des effets affectant d’autres choses.
- Les Pandarens possèdent aussi les classes de voleur, de prêtre et de mage, sachant que ces derniers sont souvent aussi des pratiquants de la géomancie. Les chroniqueurs sont souvent des bardes.
Crin-Noir- Garde de Pierre
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Re: [neutre, Horde et Alliance] les pandarens
par Crin-Noir Lun 23 Juin - 12:44
Ajout dans histoire :
Xuen le tigre s’opposa à lui, le défiant pour la liberté des habitants de Kun’lai et perdit. Le tigre fut alors enfermé dans ce qui deviendra son temple, mais il grandit en puissance car il était le symbole de la force pour les pandarens. Un à un les autres astres vénérables, qui soutinrent la résistance, furent vaincus, et Yu’lon fut la dernière, leur culte fut interdit. Mais depuis sa prison elle apporta l’espoir, et des mineurs lui construisirent une statue qui lui permit de renaître et d’offrir l’espoir d’un recommencement au peuple pandaren.
Une opération de reconstruction de la grande Statue du Serpent de jade fut décidé dans la reconstruction suivant la guerre contre Garrosh, avec l’aide d’un groupe de nains envoyés par l’Alliance.
Dans culture : Les pandarens sont extrêmement routiniers en général, ce qui se marque dans leurs pratiques de récolte de produits comme le minerai ou les plantes.
Dans religion :
Les Pandarens ont une révérence envers leurs ancêtres, qu’ils consultent parfois sous l’apparence de fantômes connus comme les Pandriarches (souvent les fondateurs de clans ou de lignées), mais ils les révèrent sans les vénérer comme un culte.
« Certains pandarens brûlaient de se venger, et ils firent tout leur possible pour devenir plus forts, en prévision du jour où ils auraient la possibilité de frapper les mogus. La colère était une source de motivation de tous les instants. Mais qu’est-ce que la force sans contrôle ? Ces pauvres esclaves devinrent bien vite les instruments du courroux, ce qui les conduisit à tourner leur haine contre tout le monde. Ils avaient oublié la leçon la plus fondamentale de Xuen : « Le seul ennemi est en vous. » »
— Les parchemins des vénérables.
L’opposition aux Mogus fonda un culte nommé le Culte des Vénérables, dédié aux Astres Vénérables. Ce culte fut interdit sous l’empire Mogu, et le culte perdit beaucoup de son savoir et de ses traditions durant cette sombre période de plusieurs siècles. Chacun des astres, ayant aidé les rebelles, fut vaincu un par un et emprisonné. Le dernier à tomber fut Yu’lon, qui se retrouva enfermé dans une mine de jade, mais de là elle ouvrit sa magie et offrit sa sagesse aux mineurs de jade. En échange, elle leur demanda de construire une statue en son honneur, statue d’où elle renaquit et offrit un nouvel espoir au peuple Pandaren, espoir qui donna naissance à Kang le poing de la première aube.
Dans tradition :
La chasse au jade est une tradition pandarène de course au minage de jade, le gagnant étant celui qui en rapporte le plus de l’aube jusqu’au crépuscule.
Xuen le tigre s’opposa à lui, le défiant pour la liberté des habitants de Kun’lai et perdit. Le tigre fut alors enfermé dans ce qui deviendra son temple, mais il grandit en puissance car il était le symbole de la force pour les pandarens. Un à un les autres astres vénérables, qui soutinrent la résistance, furent vaincus, et Yu’lon fut la dernière, leur culte fut interdit. Mais depuis sa prison elle apporta l’espoir, et des mineurs lui construisirent une statue qui lui permit de renaître et d’offrir l’espoir d’un recommencement au peuple pandaren.
Une opération de reconstruction de la grande Statue du Serpent de jade fut décidé dans la reconstruction suivant la guerre contre Garrosh, avec l’aide d’un groupe de nains envoyés par l’Alliance.
Dans culture : Les pandarens sont extrêmement routiniers en général, ce qui se marque dans leurs pratiques de récolte de produits comme le minerai ou les plantes.
Dans religion :
Les Pandarens ont une révérence envers leurs ancêtres, qu’ils consultent parfois sous l’apparence de fantômes connus comme les Pandriarches (souvent les fondateurs de clans ou de lignées), mais ils les révèrent sans les vénérer comme un culte.
« Certains pandarens brûlaient de se venger, et ils firent tout leur possible pour devenir plus forts, en prévision du jour où ils auraient la possibilité de frapper les mogus. La colère était une source de motivation de tous les instants. Mais qu’est-ce que la force sans contrôle ? Ces pauvres esclaves devinrent bien vite les instruments du courroux, ce qui les conduisit à tourner leur haine contre tout le monde. Ils avaient oublié la leçon la plus fondamentale de Xuen : « Le seul ennemi est en vous. » »
— Les parchemins des vénérables.
L’opposition aux Mogus fonda un culte nommé le Culte des Vénérables, dédié aux Astres Vénérables. Ce culte fut interdit sous l’empire Mogu, et le culte perdit beaucoup de son savoir et de ses traditions durant cette sombre période de plusieurs siècles. Chacun des astres, ayant aidé les rebelles, fut vaincu un par un et emprisonné. Le dernier à tomber fut Yu’lon, qui se retrouva enfermé dans une mine de jade, mais de là elle ouvrit sa magie et offrit sa sagesse aux mineurs de jade. En échange, elle leur demanda de construire une statue en son honneur, statue d’où elle renaquit et offrit un nouvel espoir au peuple Pandaren, espoir qui donna naissance à Kang le poing de la première aube.
Dans tradition :
La chasse au jade est une tradition pandarène de course au minage de jade, le gagnant étant celui qui en rapporte le plus de l’aube jusqu’au crépuscule.
Crin-Noir- Garde de Pierre
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